Repos avec de l'amour ? [Tomohisa]

- Il y a des risques que je sois blessé effectivement, mais je ne crois pas que ça sera pire que cette dernière semaine, soupira-t-il.

Je réprimai un grognement. La mort serait pire. La mort n'était pas à exclure face à un vampire psychopathe. Mais bon, pas besoin de le lui rappeler, j'étais certain qu'il écartait intentionnellement cette possibilité.

- Humm c'est tellement bon n_n.

Je le regardai à nouveau. De toute façon avant toute chose, il fallait qu'il se remette totalement... et je m'occuperais de lui jusqu'à ce qu'il aille mieux. Ce vampire n'aurait pas d'emprise sur lui avec moi à côté, j'arriverais à broyer son esprit.

Je sentais le regard de Tomohisa sur moi. Pourquoi il me regardait comme ça ? Ah mais bien sur parce que je suis malade enfin pas vraiment malade, mais bon je me comprends.

- Je suis si mal en point que ça ?

Je laissais un petit sourire se dessiné au coin de mes lèvres, j'attrapais une nouvelle pointe de pizza et en prit une bouché. À ce rythme, je vais être sur pied rapidement. Quoi que c'est pas vraiment mieux si je me rend malade.

- Je vais vite reprendre des forces ne t'inquiète pas.

Je voulais le rassuré, même si je savais que probablement encore une fois ce vampire m'infligerais une torture mental, je ne comptait même plus le nombre qu'il m'avait fait subir, j'avais cru devenir fou alors. Je crois que je commençais à m'habituer.

- Je pourrais courir un marathon dans quelques jours.

Je rie doucement et termine la pointe de pizza, je referme la boîte et la range dans le frigo. Des restes si jamais j'ai faim plu tard je saurais quoi mangé.

- Je suis si mal en point que ça ?

Il sourit légèrement. Je ne répondis rien, mais n'en pensai pas moins. Je l'avais vu en meilleure forme c'était certain mais bon c'était normal.

- Je vais vite reprendre des forces ne t'inquiète pas.

Je hochai doucement la tête. Evidemment que je m'inquiétais, mais là je me serais inquiété pour tout et n'importe quoi, ce qui n'était pas vraiment mon genre.

- Je pourrais courir un marathon dans quelques jours.

Je me mis à rire et secouai la tête.

- Beh tiens. Mais fais attention, je pourrais bien voir dans quelques jours si tu peux vraiment le faire.

Comme si on avait que ça à faire... mais bon, ça pourrait toujours être drôle de le voir courir un marathon, ou de courir avec lui. Alors qu'il venait de mettre la pizza dans le frigo, j'attrapai sa main pour le faire venir sur mes genoux et je posai ma tête contre son torse.

Je me retrouvais sur les genoux de Tomohisa sa tête était sur mon torse, je baissais le regard a fin de le regardé et un sourire ce dessina sur mes lèvres. Je passais mes bras autour de lui et le serrais contre moi. L'une de mes mains remonta dans ses cheveux et je les caressais doucement. Je déposais un baiser sur son front.

- Je t'aime Tomohisa.

Combien de fois lui dirais-je ? Jamais assez sûrement. Jamais je lui dirais assez pour lui démontrer à quel point, je l'aime vraiment. Mais du moment qu'il le savait c'était tout ce qui comptait pour moi.

- Tu vas prendre soins de moi ? T'occuper de moi hein ?

J'étais persuadé qu'il resterait à mes côté 24h sur 24 mais je voulais me rassuré car j'avais peur de me retrouver seul encore une fois.

- Je t'aime Tomohisa.

J'adorais l'entendre me le dire, presque autant que le fait de lui dire d'ailleurs. Je relevai les yeux pour le regarder et, alors que j'allais lui répondre il enchaina.

- Tu vas prendre soins de moi ? T'occuper de moi hein ?

J'arquai un sourcil, étonnait qu'il me pose cette question après la semaine qu'on venait de passer.

- Bien sûr, je veillerais sur toi tant que tu le voudras.

Je lui souris et déposai un tendre baiser sur ses lèvres.

- Je t'aime, susurrai-je.

- Bien sûr, je veillerais sur toi tant que tu le voudras.

Un sourire s'accrocha à mes lèvres, cela me rassurait comme ça, je ne serais pas seul si jamais ce vampire s'en prenait a moi encore. Il déposa un baiser sur mes lèvres.

- Je t'aime, susurra-t-il.

Mon coeur s'emballa dans ma poitrine comme toujours. Juste le fait qu'il me dise cela faisait battre mon coeur assez rapidement peut-être trop rapidement en fait, j'en savais trop rien. Je le serrais un peu plus contre en soupirant d'aise. Ma main continue de caressé ses cheveux.

- On est si bien en ce moment même.

Je sentis son coeur palpiter plus vite et un sourire se dessina sur mes lèvres. Il resserra son étreinte tout en continuant de caresser mes cheveux.

- On est si bien en ce moment même.

Je hochai simplement la tête et emprisonnai sa taille entre mes bras. ça m'avait tellement manqué d'être contre lui ainsi, je l'aimais tellement, c'était inimaginable. Je pourrais passer des heures installé comme ça, juste à écouter son coeur et sa respiration, et sentir la douce odeur de lavande qu'avait pris sa peau.

J'appuyais ma tête contre la sienne et humais l'odeur qui émanait de lui cette odeur que j'aimais tellement qui m'avais beaucoup manqué en 1 semaine. La semaine qui venait de passé m'avait parut une éternité tellement que le temps avait été long. Je soupire doucement d'aise. Je ne voulais plu qu'on soit séparé car, je savais que je ne le supporterais probablement pas. Et lui non plus j'en était certain, je savais qu'il avait souffert autant que moi.

- Ça te dis qu'on ce fasse des papouilles dans mon lit ?

En fait je voulais surtout que son odeur revienne dans ma chambre et sur mes couvertures. Comme ça, je savais que je dormirais bien, si il passait pas la nuit dans ma chambre.

- Ça te dit qu'on se fasse des papouilles dans mon lit ?

J'arquai un sourcil à ses paroles mais je compris rapidement qu'il n'y avait pas de sous-entendu. Je relevai la tête et lui souris.

- D'accord, si tu veux.

Je laissai l'un de mes bras autour de sa taille et glissai l'autre sous ses jambes, puis je me relevai. Je capturai ses lèvres et me dirigeai vers sa chambre sans rompre le baiser. (l'est trop fort! xD) Arrivé dans la pièce, je le posai sur son lit et m'allongeai à côté de lui.

Je me collais tout contre Tomohisa et posais ma tête sur son épaule. Et de plus mon lit était bien plus confortable que de simple chaise de cuisine. Je passais un bras sur sa taille et laissais un sourire ce dessiné sur mes lèvres.

- On est mieux la non ?

Enfin moi, je trouvais que si. Mon lit était confo et avec lui à mes côtés c'était encore mieux, je ne pouvais rien désiré de d'autre, j'avais tout ce que j'avais besoin c'était l'essentielle.

- Je t'aime Tomohisa.

Je déposais un baisé sur sa joue en souriant doucement.

- On est mieux là non ?

Un sourire se dessina sur mes lèvres et je hochai la tête. Oui, c'était plus confortable là, mais ce n'était pas comme si j'étais sensible à ce qui était confortable ou non, contrairement aux humains, contrairement à Kazu.

- Je t'aime Tomohisa.

Mon sourire s'agrandit quand je sentis ses lèvres sur ma joue, puis je tournai la tête pour le regarder dans les yeux.

- Je t'aime Kazuya.

Je passai mes bras autour de sa taille et le serrai contre moi en lui souriant tendrement.

- Je t'aime Kazuya.

Il me serra contre lui et ça ne put qu'être un plaisir pour moi. Je me pelotonnais tout contre lui. Je nichais ma tête dans son cou et respirais l'odeur de sa peau. Elle m'enivrait et me faisait tout simplement du bien quand, je regardais cela comme il faut. Elle me rendait dans un état second. C'était ma drogue. Tomohisa était ma drogue.

- Tu sais, que je suis accroc à toit comme quelqu'un serait accroc a la cocaïne.

C'était quand même bizarre de ressentir cela dans une vie. Mais j'allais pas me plaindre oh que non.

Il nicha sa tête dans mon cou, je frissonnai en sentant sa respiration sur ma peau.

- Tu sais, que je suis accroc à toi comme quelqu'un serait accroc à la cocaïne.

Je ris doucement face à son aveu. Je ne m'attendais pas à ce qu'il sorte ça comme ça... cependant, ça décrivait assez bien ce besoin qu'il avait de vouloir être près de moi, et que je partageai d'ailleurs.

- Alors nous sommes deux...

Un sourire se dessina sur mes lèvres et je montai une main dans ses cheveux pour les caresser doucement.

- Alors nous sommes deux...

Un sourire ce dessina sur mes lèvres alors qu'il commençait a caressé doucement mes cheveux. Et bien, si il était accroc a moi autant que moi je l'étais en vers lui on était bien parti. Mais cela était rassurant. Et en plus c'est pas comme si cela était interdit d'être accroc à quelqu'un.

- Tu m'est si important et si cher pour moi.

Je déposais un baisé sur sa peau douce et froide de son cou. Je fermais les yeux profitant du moment que j'avais avec lui maintenant. J'avais peur qu'on m'arrache à lui ou l'inverse.

- Tu m'es si important et si cher pour moi.

Ses lèvres se posèrent sur ma peau, déclenchant à nouveau mes frissons. J'appuyai ma tête contre la sienne et fermai les yeux.

- Toi aussi mon ange... et rien ne nous séparera, je te le promets.

Il comprendrait sûrement que j'avais deviné ses craintes, mais après tout, il connaissait déjà mes pouvoirs... même si ceux-ci avaient légèrement évolué durant cette semaine où je n'avais cessé de les travailler.

- Toi aussi mon ange... et rien ne nous séparera, je te le promets.

Un petit sourire ce dessina sur mes lèvres mais un faible sourire. Même si, il me le promettait, j'avais peur de le perde il était tout pour moi véritablement tout. Je soupirais doucement soufflant donc dans son cou.

- Je te crois, je sais que tu tiendras ta promesse.

Du moins, je savais qu'il ferait tout pour que cela ce réalise que nous soyons jamais séparé. Mais j'étais sur que ce vampire mijotait un nouveau plan pour nous séparé. C'est bien notre veine si c'est le cas. Je doute qu'il me lâche ainsi.

- Avec toi, je sais que je peux avoir confiance en quelqu'un.

J'avais pu confiance en personne si ça se trouve ce vampire on l'avait déjà croisé et ça pouvait être n'importe qui.

- Je te crois, je sais que tu tiendras ta promesse.

En tout cas, je ferais tout pour la tenir et c'était sûrement ce qui comptait le plus. Dans des moments pareilles, on pouvait pas prévoir ce qui arriverait et les promesses étaient hésitantes, mais elles étaient aussi réconfortantes.

- Avec toi, je sais que je peux avoir confiance en quelqu'un.

Je passai une main sous son menton pour le relever doucement et je capturai ses lèvres amoureusement. Il pouvait avoir confiance en moi, je ne le trahirais jamais, je l'aimais trop pour ça.

Au contact de ses lèvres un frisson me parcourut un magnifique frisson. C'était comme si je redécouvrais ses lèvres après des années d'absence. Je laissais ma langue allé caressé doucement ses lèvres puis sa langue vint a la rencontre de la mienne. Puis, elles se mirent à dansé un beau grand slow ensemble. Mais, après quelques minutes je mit fin au baiser et posais ma main sur mon front.

- Ah ma tête...

Elle me faisait mal encore plus que d'habitude les migraines était plus violente et présente qu'à la base et j'en fais souvent des migraines.

Nos langues se rejoignirent finalement et s'entrelacèrent. Je me sentais frissonner légèrement, c'était si agréable. Après un moment il mit fin au baiser et posa sa main sur son front.

- Ah ma tête...

Je fronçai les sourcils, il n'avait pas l'habitude de se plaindre de sa tête... en tout cas pour ce que j'en savais. Je passai ma main sur sa joue.

- ça va aller?

Je voulais savoir, sinon j'irais lui chercher de quoi se soigner, mais j'espérais que ce ne soit pas trop grave tout de même.

- ça va aller?

Je hochais doucement la tête et me redressé dans le lit et me tournais vers la table de chevet et ouvrit le premier tiroir. J'attrapais le pot de pilule que je prenais pour mes migraines, je suis pire qu'une nana par moment, je vous jure. Je soupire doucement et ouvre le pot et prend deux comprimé. En fait, ils sont très important c'est comprimé.

- Avec ça...ça va allez mieux.

Je refermais le pot et le rangeais en regardant le nom du médecin qui me l'avait prescrit, il faudrait que je retourne le voir pour lui dire que c'est plus intense. Je pris les deux comprimé et m'étendis de nouveau sur le lit à côté de Tomohisa.

Je le regarder attraper un pot de pilule. ça ne me plaisait pas trop ça... je n'aimais pas les médicaments, quand on en prenait c'était mauvais signe... enfin c'était l'idée que je m'en faisais... peut-être la seule chose que j'ai gardé de mon père tiens...

- Avec ça...ça va aller mieux.

Je hochai doucement la tête. Après tout il savait ce qu'il faisait, je n'avais qu'à le croire. Il se rallongea, je posai ma tête sur le haut de son torse en glissant une de mes mains à la sienne pour entrelacer nos doigts.

- J'espère que ça passera.

Je ne parlais pas simplement de cette migraine-là, mais du fait qu'il en avait en général.

- J'espère que ça passera.

Je hochais doucement la tête pour le savoir, je devrais retourné au Japon pour rencontré le médecin tient. Je fermais les yeux alors que ma main libre remonta doucement dans son dos jusqu'à ses cheveux et les caressaient doucement.

- Quand tout sera terminé et que nous irons à Tokyo, j'irais voir le médecin qui s'occupe de moi.

Il y a bien longtemps que je l'est pas vue en fait. Depuis que ma mère est morte. Je l'est vue 1 fois après qu'elle soit morte et puis bon après je suis parti de Tokyo, allant n'importe ou pour venir ici.

- Je suis sur que c'est rien de grave et si c'était le cas, je me ferais soigné.

Je déposais un baiser sur son front alors que ma main resserrait la sienne doucement.

- Quand tout sera terminé et que nous irons à Tokyo, j'irais voir le médecin qui s'occupe de moi.

Je hochai à nouveau la tête. Je m'interdis de me dire qu'on pourrait avoir du mal à y retourner ou quoique ce soit dans ce genre.

- Je suis sur que c'est rien de grave et si c'était le cas, je me ferais soigné.

Je fermai les yeux en sentant ses lèvres sur mon front. Mon pouce caressa doucement le dos de sa main et je soupirai silencieusement.

- Si tu le dis, je te crois.

Je n'avais pas d'autre option de toute façon.

- Si tu le dis, je te crois.

Si par malheur, j'étais malade, il était certain que je me ferais soigné que je me laisserais pas dépérir, il en était hors de question à moins qu'il n'y est pas de miracle ou de soins. Mais je préférais ne pas pensé à cela. Je suis sur que je n'est rien de grave de toute façon.

- Je suppose que avec tout ce qui ce passe en ce moment et le fait que j'ai pas manger beaucoup en 1 semaine n'aide pas.

Je fermais les yeux et soupirais doucement. Et tout ça c'était à cause de ce vampire à la con, je ne saurais jamais dire à quel point, je le déteste. Peut-être trop d'ailleurs.

- Donc c'est pour ça que mes migraines sont violente j'en suis sur.

Enfin, je disais pour calmé les idées que Tomohisa pouvait ce faire. Car, j'étais sur de rien.

- Je suppose que avec tout ce qui ce passe en ce moment et le fait que j'ai pas manger beaucoup en 1 semaine n'aide pas.

Il n'avait pas vraiment tort, et j'espérais réellement et sincèrement que ce ne soit rien de plus grave que ça.

- Donc c'est pour ça que mes migraines sont violentes j'en suis sur.

Encore une fois il n'était pas sûr de lui, mais il fait tout pour que sois rassuré. Nous nous protégions mutuellement, même si c'était de manières différentes.

- D'accord...

Je remontai sa main à mon visage et respirai doucement l'arôme de sa peau. Mes lèvres l'effleurèrent.