Toujours la même chose....

Messages : 284 Date d'inscription : 17/04/2009 Age : 40

Ça faisait déjà un petit moment qu'il était arrivé dans cette nouvelle ville et faut dire que ce n'était pas vraiment plaisant jusqu'à présent. La seule chose qu'il avait réussit à faire, c'était d'avoir tabasser quelques personnes. Le genre de personnes qui ne savent pas ce mêler de leurs affaires. Bien entendu, il s'était fait un malin plaisir à leur fracasser la tête et ainsi partir la tête haute une fois de plus. Et faut aussi dire que ça ne pouvait que l'aider ce genre de choses.Ainsi, il risquait plus vite de devenir la tête haute de cette ville. Tout le monde serait ainsi à ses pieds avant la fin du mois.

Comme la journée était déjà bien avancé, il avait prit la décision d'aller faire un léger tour au terrain de sprot, question de voir quelle genre de personne se retrouvait à cet endroit. Peut-être qu'ainsi il aurait la chance de mettre quelques autres personnes dans sa poche. Rien de mieux pour finir une excellente journée. Une fois sur place, il alla prendre un siège dans les estrades, posant ainsi son regard sur ceux qui s'entraînait un peu plus bas sur le terrain. Son regard se posa rapidement sur un homme qui semblait vouloir aussi de son côté mener la danse sur le terrain. Et bien cet homme allait sûrement être surpris dans quelques instants lorsqu'il irait lui fracasser la machoîre. Personne n'avait le droit de vouloir prendre sa place.

Il se leva donc de son siège avant de descendre lentement les escaliers qui menaient au terrain. Une fois sur celui-ci, il s'étira légèrement, réprimant un baillement d'ennui. Bien entendu son geste attira l'attention de l'homme en question. Celui-ci s'avança, en grognant.

- Qu'est-ce que tu fiche ici ? Ce n'est pas un endroit pour un gamin.

Jun posa son regard sur lui en haussant un sourcil. Lui un gamin ? Voilà une excellente raison pour se défouler. Il donna une bonne droite sur la machoîre de l'homme avant que celui-ci ne releve la tête vers lui. Il savait parfaitement qu'une bagarre allait s'en suivre et ce n'était que pour l'amuser davantage.

Pour faire changement et surtout pour me changer les idées, j'avais décidé d'allé au terrain de sport histoire de m'entraîner un peu et aussi a fin de voir si, je savais encore bien joué au foot. Rendu la j'allais au vestiaire et enfilais un uniforme de foot que j'avais lorsque j'étais au lycée. Il me fait encore cette uniforme la preuve que j'ai pas grossi d'une seule livre. J'attachais mes souliers tout en réfléchissant. J'avais quelque chose qui me gigotait en tête depuis ma dernière conversation avec Tomohisa. Mais j'avais peur de lui dire ce que je souhaitais réellement.

J'étais persuader que avant même que je dise quoi que ce soit, il devinera et je suis sur qu'il dira non. C'est pourtant ce que je veux. Je voudrais que pour être toujours avec lui qu'il me fasse devenir comme lui, mais je suis sur que c'est peine perdu de toute façon. Il refusera c'est certain et en même temps j'ai peur de ce qui pourrait arrivé si, il disait oui ce qui n'arrivera pas. On ferait que ce prendre la tête. Je terminais d'attacher mes chaussures et rangeais mes vêtements dans un casier que je verrouillais. J'ai pas envie qu'on fouille dans mes affaires. J'attrapais mon ballon et quittait le vestiaire.

Je longeais le long couloir et donnait de petit coup sur le ballon, mais j'en donnais un beaucoup plus fort et je vis le ballon rebondir sur la tête de quelqu'un. Je m'arrêtais net d'avancer et couru vers les individus.

- Gomen ne.

Je suis le pire boulet qui existe sur terre. J'attrapais le ballon et allait dans un coin du terrain ou, il n'y avait personne pour être sur de pas faire de gaffe.

Messages : 284 Date d'inscription : 17/04/2009 Age : 40

Et comme il le prévoyait déjà d'avance, l'homme posa un regard meurtrier sur lui. Il croyait peut-être lui faire peur avec ce simple regard, Il en avait vu beaucoup d'autres comme lui qui étaient pourtant retourner dans leur coin, la queue entre les jambes à la fin de l'intercation. Mais bon, si cet homme voulait vraiment se mesurer à lui, il allait s'en faire un grand plaisir. L'homme commença à lever son bras pour tenter quelque chose, mais Jun devina sans aucune difficulté ce qu'il tentait de faire, il attrapa donc le bras de celui-ci, le tournant de façon à ce que l'homme se retrouve coincé, le bras dans le dos. Mais alors qu'il allait ajouter quelque chose, il eut droit à un ballon derrière la tête. Il tourna la tête pour apercevoir un jeune homme qui se dirigeait vers eux.

- Gomen ne.

Désolé, ce n'était pas suffisant. Il allait devoir payer son erreur maintenant. Mais pour le moment, il devait d'abord s'occuper de cet homme. Il força de nouveau sur le bras de celui-ci qui émit un léger grognement de malaise. Jun approcha son visage près de l'oreille de celui-ci sans lâcher son bras.

- À partir de maintenant tu es sous mes ordres. Si je te demande quelque chose tu devras le faire. C'est moi qui mènerait cette ville et tu ferais bien de commencer à me respecter dès maintenant.

Il lâcha le bras de l'homme avant de passer sa main dans ses cheveux. L'homme se tourna vers lui et baissa la tête avant de s'éloigner. À présent, il fallait s'occuper de cet autre imbécile. Et dire qu'il avait cru n'avoir aucun problèmes sur ce terrain. Il poussa un soupir avant de finalement trouver le jeune homme du regard. Il s'avança dans la direction de celui-ci et une fois tout près, il lui jeta un drôle de regard.

- Tu croyais tout de même pas t'en sauver. Je crois que tu me dois plus que des excuses baka.

- Tu croyais tout de même pas t'en sauver. Je crois que tu me dois plus que des excuses baka.

Je sursautais vaguement et posais mon pied sur le ballon et tournait la tête. Je vis le mec sur qui mon ballon avait tapé. Décidément, je suis bon pour me prendre des merdes dans cette vie. Je suis le boulet de service, mais il était clair que je me plierais pas au 4 volonté de ce mec. Jamais personne n'avais réussi a me faire plié devant lui alors c'est sûrement pas un mec comme lui qui réussirait.

- Pardon ? Est-ce que j'ai bien entendu ?

Je savais bien que la, je faisais de la provocation, mais je m'en fichais tellement en fait. J'étais tel que je suis après tout. Si quelqu'un avait un problème avec ça tant pis. Et lui si, il avait un problème qu'il me le dise. Nah, mais genre, il pense vraiment que je vais faire autre chose.

- Je me suis déjà excuser, je le referais pas une seconde fois.

Nah, il pouvait toujours rêver voir même courir, si il croyait que je m'excuserais une nouvelle fois autant qu'il attende qu'il tombe des vaches du ciel il y a pas de chance que ça arrive. Je suis pas du genre a me laissé marcher dessus depuis mon expérience au collège.

Messages : 284 Date d'inscription : 17/04/2009 Age : 40

- Pardon ? Est-ce que j'ai bien entendu ?

Jun haussa un sourcil devant l'arrogance du jeune homme. Mais il se croyait où lui au juste ? Ce n,était pas en jouant les arrogants qu'il risquait de sauver sa peau. Maintenant qu'il venait de le faire chier, il allait devoir subir les conséquences. Et de plus en parlant ainsi, il ne faisait qu'empirer son cas. Faut dire qu'il en avait vue beaucoup dans ce genre. Mais comme à toutes les fois, il s finissaient toujours par se calmer et demander pardon à la fin.

- Je me suis déjà excuser, je le referais pas une seconde fois.

Et bien, si c'est vraiment ce qu'il croyait, il venait de tomber sur la mauvaise personne. Ce n'est sûrement pas Jun qui allait le laisser partir ainsi sans rien faire. Maintenant que ce jeune baka venait de le piquer au vif, il risquait fort bien d'y laisser sa peau. Au moins, il aurait toujours pu se défiler en s'excuser comme il se devait au lieu de parler comme un imbécile. Mais bon, c'est pas tout le monde qui comprend ça. Il faut bien des crétins dans ce monde.

- Tu devrais rapidement retirer ces paroles à mon avis. Je suis pas vraiment d'humeur pour bavarder avec un imbécile de ton genre.

Il attrapa le jeune homme par le collet, le soulevant légèrement du sol. Il était hors de question qu'une personne comme lui, ose parler sur ce ton. Il ne devait sûrement pas se douter à quelle genre de personne il faisait affaire. Et bien alors il allait rapidement le découvrir.

- Alors, demande pardon, sinon tu risque de te retrouver rapidement dans un endroit où les médecins devront refaire en grande partie ton pauvre petit visage de babouin.

- Tu devrais rapidement retirer ces paroles à mon avis. Je suis pas vraiment d'humeur pour bavarder avec un imbécile de ton genre.

J'étais choquer par de tel paroles venant d'un mec comme ça. Il m'attrapa par le collet et sans mal mes pieds touchait presque pu le sol. Mais j'étais pas surpris, j'étais pas du genre lourd. Mais il ce prenait pour qui ce con. Nah, mais franchement genre, il pense qu'en me parlant comme ça il va avoir ce qu'il veut. Pff, il peut toujours rêver celui la quand même.

- Alors, demande pardon, sinon tu risque de te retrouver rapidement dans un endroit où les médecins devront refaire en grande partie ton pauvre petit visage de babouin.

Oh les grosses menaces, il essaie de m'effrayer ? Il me fait pas tellement peur faut dire. Après tout, il était rien à côté de ce que j'avais vue dans cette ville. Ce mec ce prenait vraiment pour le centre du monde. Je lui donnait un coup assez violent sur le coude et il me lâcha. Je replaçais mon chandail.

- Nah, mais tu te prends pour qui ? T'es pas quelqu'un d'important à mes yeux. Tu me dis imbéciles.

Mais en fait c'est lui l'imbécile quand on regarde ça. Je remarquais que les gens avait cessé de faire leur sport respectif et nous jetais des regard. C'est clair qu'on serait viré du terrain.

- Mais en fait c'est toi qui agis en imbécile pour le moment. C'est juste un ballon tu vas pas mourir car un ballon t'a frappé quand même ?

Je fais un petit sourire en coin en me disant que je devrais peut-être me taire, mais non bien au contraire, je me laisse pas marcher dessus et ça il va bien le savoir en fait. Car, je me fou pas mal de qui, il est.

Messages : 284 Date d'inscription : 17/04/2009 Age : 40

Le jeune homme lui asséna un coup sur le bras, ce qui lui fit lâcher son collet. Il posa un regard noir sur celui-ci. Il croyait peut-être qu'un simple coup sur un bras le ferait changer d'idée ? Ça allait en prendre plus pour le faire changer d'idée. Il avait mangé beaucoup plus de raclée plus violentes que celle-ci. Et il n'avait pas reculer pour autant. Il faut toujours terminé le travail qu'on commence.

- Nah, mais tu te prends pour qui ? T'es pas quelqu'un d'important à mes yeux. Tu me dis imbéciles.

Bien sûr qu'il était imbécile. Il devrait pourtant savoir qui il était. Quoi qu'il le saurait bien assez vite. Suffisait de quelques instants encore avant qu'il ne voit à qui il avait affaire.

- Mais en fait c'est toi qui agis en imbécile pour le moment. C'est juste un ballon tu vas pas mourir car un ballon t'a frappé quand même ?

Un léger sourire amusé apparut sur son visage durant un court instant. Non, ça ne risquait pas de le faire mourir, mais il pouvait très bien réglé ça autrement si ce jeune homme le souhaitait. C'était pas un problème pour lui après tout.

- Tu ne sait peut-être pas qui je suis pour le moment, mais bientôt tu auras devant toi le maître de cette ville. Personne ne pourra lever le petit doigt sans avoir a faire à moi. J'aurais le contrôle totale de cette petite ville de merde.

Juste d'y penser le rendait très heureux. Ces parents ne pourraient pas lui dire qu'il n'avait rien fait depuis son départ. Devenir le maître d'une ville aussi minable, ce n'est peut-être pas grand chose, mais au moins c'est un pas de plus.

- Et pour ton petit savoir de cervelle, si tu veux vraiment réglé cette histoire de ballon, tu as le choix. Soit en te battant avec moi ou soit en acceptant de te présenter devant le juge pour un procès, que je vais remporter haut la main vu mon statut social.

Mais bon, c'est lui qui voyait après tout. Il jeta un regard autour de lui, apercevant ainsi les nombreux voyeurs.

- Qu'est-ce que vous regardez bande d'imbécile ? Retournez donc à vos petites occupations à la con.

- Tu ne sait peut-être pas qui je suis pour le moment, mais bientôt tu auras devant toi le maître de cette ville. Personne ne pourra lever le petit doigt sans avoir a faire à moi. J'aurais le contrôle totale de cette petite ville de merde.

Je me retins pour ne pas éclater de rire. Car la vraiment j'avais vue des drôle de mec dans ma vie, mais celui la battait tout le monde à plat de couture. Il était vraiment drôle et dans mon fort intérieur, je rigolais beaucoup faut dire. Mais alors la par contre il ce la croyait peut-être trop.

- Et pour ton petit savoir de cervelle, si tu veux vraiment réglé cette histoire de ballon, tu as le choix. Soit en te battant avec moi ou soit en acceptant de te présenter devant le juge pour un procès, que je vais remporter haut la main vu mon statut social.

Ah bah si, il ce la joue et solide par dessus le marcher. J'éclatais finalement de rire, je ne pouvait plu me retenir, j'en étais tout simplement incapable. Il était vraiment trop drôle ce type quoi. Il ce la jouait comme beaucoup trop. Mais, il me faisait pas peur, j'en avais vue d'autre.

- Qu'est-ce que vous regardez bande d'imbécile ? Retournez donc à vos petites occupations à la con.

Il parlait au gens qui nous regardait qui s'apprêter à retourner à leur occupation.

- Mateo Mina ! Vous n'avez pas écoutez ce type. Le terrain de sport ne lui appartient pas tout comme cette ville d'ailleurs et encore moins votre vie. Vous pouvez donc restez. Vous êtes tous nos Sempei il vous doit le respect.

Je posais mon regard sur le garçon et m'avançais tranquillement vers lui. Je savais que je jouais sur un terrain dangereux remplie de crevasse en ce moment même, mais il était hors de question que j'accepte qu'un mec comme lui essaye de faire sa loi.

- Tu ne me dérange pas pour 5 cent mon grand. Avec ton comportement tu es l'un de ses gosses qui a toujours tout ce qui désire.

Ça se voyait trop dans son caractère qu'il était quelqu'un qui avait toujours eu ce qui voulait, mais cela ne me dérangeait pas du tout bien au contraire, je détestais ce genre de personne.

- Grandit un peu. Va bien falloir que tu te rendre compte que pas tout t'appartient dans cette vie. Et je me fiche de ton rang social.

Je me fichais bien de quel rang social, il appartenait, il avait beau avoir fréquenter de grande école ou quelque chose comme ça à mes yeux, il était un insecte qu'on doit ce débarrassez pour que la société est mieux et qu'il n'est pas de problème avec ce genre de personne.

Messages : 284 Date d'inscription : 17/04/2009 Age : 40

- Mateo Mina ! Vous n'avez pas écoutez ce type. Le terrain de sport ne lui appartient pas tout comme cette ville d'ailleurs et encore moins votre vie. Vous pouvez donc restez. Vous êtes tous nos Sempei il vous doit le respect.

Là par contre, cet imbécile venait de se mettre les deux pieds dans la merde. S'il croyait qu'il pouvait dire de tels choses sans recevoir une bonne correction, il allait en voir de toutes les couleurs. Il n'allait sûrement pas laisser cet idiot briser tout ce qu'il avait construit jusqu'ici.

- Tu ne me dérange pas pour 5 cent mon grand. Avec ton comportement tu es l'un de ses gosses qui a toujours tout ce qui désire.

Et oui, il avait toujours eut ce qu'il voulait. Sauf peut-être une chose. Mais à présent, il l'aurait. Et ce n'est pas ce débile qui allait l'en priver maintenant.

- Grandit un peu. Va bien falloir que tu te rendre compte que pas tout t'appartient dans cette vie. Et je me fiche de ton rang social.

Il se retourna vers le jeune homme en sentant la colère monter en lui. Il flanqua un solide coup de poing dans l'estomac de celui-ci avant de se pencher à sa hauteur.

- Sache pour ta gouverne que je n'ai pas de conseil à recevoir de la part d'un abruti comme toi. Si j'ai envie de prendre le contrôle de cette ville, je vais le faire que tu le veuille ou non. Et ce n'est pas toi qui m'en empêchera, loin de là.

Il se redressa en laissant un faible sourire apparaître sur ses lèvres. Il se tourna vers les autres avant d'ajouter.

- Et pour vous, vous feriez mieux de foutre le camp d'ici. Je voudrais pas devoir vous blesser par mégarde. Quoi que ça pourrait être rigolo de tous vous passer à la casserole. Mais ça deviendrait sûrement ennuyeux au bout d'un moment.

Il leur jeta un regard noir avant de leur faire un signe de tête.

- Allez, déguerpissez ou vous aurez des problèmes.

Et faut dire que ça ne prendrait que quelques secondes avant que toutes leur vies ne soient ruiné. Tout comme celle de ce jeune homme. Il vient sûrement de perdre la meilleure vie qu'il avait avant de faire l'erreur de s'opposer à lui.

- Sache pour ta gouverne que je n'ai pas de conseil à recevoir de la part d'un abruti comme toi. Si j'ai envie de prendre le contrôle de cette ville, je vais le faire que tu le veuille ou non. Et ce n'est pas toi qui m'en empêchera, loin de là.

Je posais ma mon bras sur mon ventre en soufflant doucement. Nah, mais c'est un vrai taré ce mec, je sentais les regards sur moi le genre de regard qu'on veut pas dans sa vie. J'avais l'impression d'être au collège devant ses jeune gosse qui s'en prenait à moi parce que j'étais différent d'eux. Mais ou est le problème. Il croit vraiment qu'il aura le contrôle de la ville ? Il peut toujours courir.

- Et pour vous, vous feriez mieux de foutre le camp d'ici. Je voudrais pas devoir vous blesser par mégarde. Quoi que ça pourrait être rigolo de tous vous passer à la casserole. Mais ça deviendrait sûrement ennuyeux au bout d'un moment.

Nah, mais vraiment pour qui ce prenait-il cet enfoiré ? Je reprenais mon souffle et me redressais finalement. Je crois que ce mec à jamais eu ce qu'il méritait réellement. Il méritait sûrement une bonne raclé ça c'était certain.

- Allez, déguerpissez ou vous aurez des problèmes.

Je m'avançais derrière lui l'attrapant par le bras et lui fit faire volte face pour qu'il soit en face de moi. Je lui fit un sourire et crispais le poing finalement. Nah, mais il allait pas s'en tirez comme si de rien était. Si c'est ce qu'il croyait, il pouvait toujours rêver.

- Tu mérite même pas que ses gens t'écoute. Tu mérite surtout pas le respect de personne espèce d'enfoiré.

Je lui balançais une droite sur la gueule et il tomba à la renverse, je secouais doucement la main. Il y a longtemps que je n'avais pas frappé quelqu'un je dois dire, je m'accroupis et l'attrapais par les cheveux et lui relevais la tête pour le regardé droit dans les yeux.

- Si, je serais toi, je me casserais d'ici. Ou sinon tu pourrais avoir des ennuies tu vois. Je suis pas le genre de personne à qui tu fais peur.

Je me redressais et lui balançais un coup de pied dans les côtes. Je m'éloignais tranquillement vers la sortie du terrain. Nah, mais je suis venu ici pour m'entraîné moi pas pour boxé.

- Sache pour ta gouverne que dans ce monde, il y a pas que des gens qui sont à t'es pieds, il y a ceux qui comme moi te feront face.

Je me retournais pour le regardé au sol, je voyais des sourires ce dessiné sur des visages sûrement que certain ce disait qu'il méritait cela. En fait il le méritait grandement. Car si, il veut être respect, il doit respecté les autres. Il aura pas mon respect si, il ne me respecte pas ça c'est certain.

Messages : 284 Date d'inscription : 17/04/2009 Age : 40

- Tu mérite même pas que ses gens t'écoute. Tu mérite surtout pas le respect de personne espèce d'enfoiré.

Sans en prendre conscience, il se retrouva rapidement sur le sol avec une légère douleur au niveau de la mâchoire. Il releva les yeux vers le jeune homme en sachant parfaitement que celui-ci allait sûrement le payer très cher.

- Si, je serais toi, je me casserais d'ici. Ou sinon tu pourrais avoir des ennuies tu vois. Je suis pas le genre de personne à qui tu fais peur.

Parce que peut-être que lui il lui faisait peur. Une nouvelle douleur se fit ressentir au niveau de ses côtes alors que l'autre imbécile s'éloignait déjà. Non mais où croyait-il aller comme ça ? C'était loin d'être terminé cette histoire.

- Sache pour ta gouverne que dans ce monde, il y a pas que des gens qui sont à t'es pieds, il y a ceux qui comme moi te feront face.

Il se redressa lentement du sol avant de se tourner vers celui qui s'éloignait. Les gens n'avaient d'autre choix que d'être à ses pieds. C'était eux qui devait lui permettre d'obtenir ce qu'il voulait. Il n'allait sûrement pas laisser un jeune idiot lui enlever tout ce qu'il avait toujours désirer. Il se mit en route vers la sortie à son tour, rattrapant ainsi l'autre garçon.

- Attend une seconde l'abruti.

Il se planta devant celui-ci en laissant un léger sourire en coin prendre place sur ses lèvres.

- Je me fiche bien que tu veuille me faire face, mais il est hors de question que tu m'empêche de réaliser le pourquoi je suis ici. J'ai besoin de cette ville et je l'aurais.

- Attend une seconde l'abruti.

Il se plantait devant moi, je soupirais et croisais les bras sur mon torse, nah mais il allait pas me lâché ? Je voulais allé me changer moi. Je voulais surtout quitté le terrain avant qu'on me le fasse quitté. Car de toute façon c'est certain que les responsable du terrain devait avoir été mit au courant de ce qui ce passait.

- Je me fiche bien que tu veuille me faire face, mais il est hors de question que tu m'empêche de réaliser le pourquoi je suis ici. J'ai besoin de cette ville et je l'aurais.

Je haussais un sourcil et rit doucement. Nah, mais c'est n'importe quoi ce qu'il me dit la celui-la. Ça n'a aucun sens quand, je regarde ça. Je le poussais légèrement et continuais mon chemin.

- Arrête de dire des conneries, jamais personne ne voudra ce plié à t'es exigences ici.

Surtout Tomohisa lui ne se plierais pas aux exigence d'un mec comme ça. Sa je le savais que trop bien. Et je savais qu'il n'était pas le seul vampire dans cette ville alors le pauvre garçon, il aurait du file à retorde. Je crois que c'est ce que je trouve le plus amusant.

- Ah et sache qui a pire que moi dans cette ville. Alors bonne chance pour te les mettes dans ta poche. Car moi tu m'oublie, dis-je en poussant la porte du vestiaire.

J'allais ou mon casier et l'ouvrit doucement. J'attrapais mes vêtements et me changeais.Je mit mon uniforme de foot dans mon sac de sport, la sonnerie de mon portable ce fit entendre, je le pris et décrocha.

- Moshi mosh...
- Kazuya...

Je raccrochais en reconnaissant la voix, j'éteins mon portable et le met dans mes poches. J'arrangeais ma veste et l'enfilais, je regardais les casier devant moi fixement et m'assis sur un banc.

Messages : 284 Date d'inscription : 17/04/2009 Age : 40

- Arrête de dire des conneries, jamais personne ne voudra ce plié à t'es exigences ici.

Pourtant, il en avait besoin. Les gens de cette ville se devait d'être à ses pieds. Sinon comment il ferait pour avoir tout ça. Ses parents allaient sûrement le prendre pour un crétin encore une fois. Il ne pouvait pas laisser quelques personnes ruiner ce pourquoi il se battait ainsi. De toute façon, ce n,était sûrement pas ces quelques personnes qui risquaient de lui faire peur.

- Ah et sache qui a pire que moi dans cette ville. Alors bonne chance pour te les mettes dans ta poche. Car moi tu m'oublie.

Il ferma les yeux en sentant la colère monter en lui. Il devait trouver un moyen pour convaincre cet idiot de le suivre. Quelqu'un comme lui à ses côtés, risquait fort bien de lui donner un bon coup de pouce pour avoir la main sur cette ville. Mais comment le faire changer d'idée ? Ça, c'était une toute autre histoire. Il poussa un soupir avant de détourner la tête, remarquant ainsi l'attroupement qui s'était de nouveau former.

- Qu'est-ce que vous regarder ainsi bande de morveux ! Vous voulez pet-être que je vous brise les os un par un.

Il s'éloigna en secouant légèrement la tête. Pourquoi maintenant qu'il voulait prouver ce qu'il était devenu, il devait encore se battre pour l'obtenir. Qu'est-ce que son père allait encore dire en sachant qu'il n'arrivait à rien avec une stupide petite ville ? Il allait de nouveau se retrouver avec la honte sur les épaules. Et tout ça parce qu'un abruti refusait de le suivre.

- J'emmerde les gens de son espèce.

Il se dirigea vers les vestiaires en sachant parfaitement que le jeune homme s'y trouvait. Il chercha un instant dans la salle avant de trouver celui-ci assit sur un banc. Il s'avança vers celui-ci et se laissa tomber sur le banc à son tour.

- J'ai besoin de quelqu'un comme toi.

- J'ai besoin de quelqu'un comme toi.

Je redressais la tête et la tournais pour voir le garçon assit sur le banc. Avais-je bien entendu ou était-ce seulement mon imagination ? Et qu'est-ce qui n'avait pas comprit dans le fait de m'oublier pour ses projets qui ne m'intéressait pas du tout. Je haussais un sourcil et croisais les jambes. Je regardais les casiers devant moi.

- J'ai dit de m'oublier tout à l'heure.

Nah, mais franchement si je me mettais de son côté, je devrais faire tout ce qu'il veut, il peut toujours courir quand même. Je suis pas si stupide quand même. Il me prend pour qui ? Je suis bête, mais jusqu'à un certain point. Je me lève et attrape mon sac de sport, je le met sur mon épaule et le regarde un bref moment puis, je tourne les talons et me dirige vers la porte.

- Les mecs comme toi, j'aime pas ça et tu me feras pas changé d'avis. Donc tu m'oublie dans ton délire de vouloir conquérir la ville. Car je n'accepte pas que la ville appartienne aux mondes. Elle est a tout le monde.

J'ouvre la porte et quitte le vestiaire. Nah, mais quoi, il croyait vraiment que j'allais dire genre bah si, je veux bien être ton bras droit. J'ai déjà assez de problème comme ça, je ne m'en rajouterais pas. Je fis face à face avec deux mecs baraqués.

- Nous vous demandons de quitté le terrain.
- C'est ce que j'allais faire. Je sais ou est la sortie d'ailleurs.
- Ou est l'autre ?
- Ah lui, il est dans les vestiaires.

Ils entrent dans le vestiaire alors que je longe le couloir pour quitté les lieux. C'est le mieux qui a faire rendu à l'extérieur, je m'appuie au mur et regarde devant moi les gens qui vont et vient.

Messages : 284 Date d'inscription : 17/04/2009 Age : 40

- J'ai dit de m'oublier tout à l'heure.

Il l'avait bien comprit ça, mais il pouvait toujours tenter de le faire changer d'idée. Il y a seulement les fous qui ne changent pas d'idée. Mais bon, avec un peu d'arguments peut-être que ça pourrait marcher. Il allait ajouter quelque chose lorsqu'il s'aperçut que le jeune homme s'était levé et qu'il se dirigeait maintenant vers la sortie.

- Les mecs comme toi, j'aime pas ça et tu me feras pas changé d'avis. Donc tu m'oublie dans ton délire de vouloir conquérir la ville. Car je n'accepte pas que la ville appartienne aux mondes. Elle est a tout le monde.

Qu'est-ce qu'il était têtu celui-là ! Vraiment pas moyens de le faire revenir sur sa décision. Mais pourtant, il devait bien y avoir quelque chose qui puisse le faire changer d'idée. Tout le monde avait un point faible. Il se leva du banc, bien décidé à faire tout ce qu'il pouvait pour convaincre ce jeune homme. Mais au moment où il allait sortir, deux hommes se placèrent devant lui.

- Vous devez quitter les lieux.
- Sur ordre de qui ?
- Du propriétaire de ce terrain.

Un léger sourire se dessina sur ses lèvres. Si c'était seulement sur les ordres d'un propriétaire, il suffisait d'aller le voir et de réglé la question.

- Parfait, montrer moi son bureau je vous prie.

Les deux hommes l'escortèrent ainsi jusqu'au bureau du propriétaire. Quelques instants plus tard, il sortit du bureau, papier prouvant son autorité sur le terrain. À présent, seul ceux qui voudront s'allier à lui auront des droits sur ce fichu terrain. C'était déjà un grand pas vers la possession de cette ville. Ses parents auraient enfin de quoi être fier de lui et peut-être qu'ainsi il finirait par avoir le respect de ceux-ci. Et peut-être même ce qu'il avait toujours souhaiter. Il se dirigea vers la sortie du terrain après avoir informé à ses deux nouveaux gardes de veiller à ce que seul les intéresser à le suivre puisse entrer sur le terrain. Une fois à l'extérieur, il remarqua le jeune homme qui était appuyé au mur.

- Tu devrais être rendu plus loin que ça il me semble. Mes deux gardes t'ont bien indiqué que tu devais quitter les lieu il me semble.

- Tu devrais être rendu plus loin que ça il me semble. Mes deux gardes t'ont bien indiqué que tu devais quitter les lieu il me semble.

"Mes deux gardes" Eh ? Mais qu'est-ce qu'il me chantait la celui la ? Il délirait vraiment beaucoup ce mec. En fait, je me demande même qu'est-ce qu'il à pu fumé en ce moment même. En tout cas ça semble de la bonne ça c'est certain. Il a un bon pusher c'est clair. Je le regardais finalement plongeant mon regard dans le sien essayant de déceler quelconque truc louche.

- Ils n'ont pas eu besoin de m'indiquer la sortie, je l'est trouver tout seul comme un grand garçon tu vois.

Je fais un sourire et me remet à avancer sur le trottoir et grimpe sur un banc et m'accroupis dessus. Je regarde le sol fixement et très longtemps. Je tourne la tête et voit une bande de mec venir dans ma direction. Je l'est reconnait que trop bien, je fais un petit sourire.

- Kamenashi-Kun.

Je me lève et vais à leur rencontre. Nah, mais ça fait du bien de voir des vieux potes par moment. Je me suis enfermer trop longtemps. Je remarque qu'il dévisage le mec de tout à l'heure.

- Qui est-ce ?
- Ça vaut même pas la peine de le savoir, dis-je en riant.

Leur rire se joignent au mien. C'est seulement un mec qui ce la joue et ce la croit dur comme faire. Je m'avance vers lui et rendu à sa hauteur.

- Merci, je me suis bien amusé sois dit en passant. On remets ça ?

Je ries et retourne ou mes amis et on commence à s'éloigner. Se retrouver avec les copains du lycée c'est toujours cool ne ? Au moins comme ça on s'amuse bien.

Messages : 284 Date d'inscription : 17/04/2009 Age : 40

- Ils n'ont pas eu besoin de m'indiquer la sortie, je l'est trouver tout seul comme un grand garçon tu vois.

C'était bien tant mieux ainsi de toute façon. Il n'aurait pas besoin lui faire savoir qu'il n'avait pas intérêt à remettre les pieds ici s'il ne changeait pas d'idée. Le jeune homme s'éloigna finalement vers un banc avant d'y prendre place. Il finirait bien par comprendre dans quel pétrin il vient de se mettre en lui refusant toute aide. De toute façon, il doit bien exister d'autre personne dans cette ville, beaucoup moins idiote que lui.

Alors qu'il allait retourner à l'intérieur du terrain, il aperçut une bande de gars qui s'avançait vers le jeune homme. Sûrement quelques personnes qu'il connaît dans cette ville. Il secoua doucement la tête et fit un pas vers l'intérieur, mais les rires qui s'élevèrent dans le silence de la rue, lui fit tourner la tête vers les jeunes. Ça se voyait bien qu'il se moquait de lui. Et bien, tant pis pour eux alors. Il n'ont encore rien vu de ce qu'il pouvait faire. Le jeune homme du terrain s'avança vers lui après quelques secondes.

- Merci, je me suis bien amusé sois dit en passant. On remets ça ?

Le rire qui s,échappa des lèvres de celui-ci alors qu'il s'éloigna, le fit enragé. Personne ne pouvait se moquer de lui ainsi. Déjà que ses parents le faisait, c'était déjà bien suffisant. Il était hors de question, qu'un jeune blanc-bec vienne y mettre à son tour son grain de sel. Il s'avança vers le groupe qui commençait déjà à s'éloigner.

- Où tu crois aller comme ça, baka ? C'est pas parce que tu t'es entouré de tes petits amis que tu peux facilement venir me rire au visage. Je me fiche bien que vous soyez dix, quinze ou même vingt contre moi. Je vais vous réduire en bouillie quand même.

C'était sûrement pas le nombre qui lui faisait peur. Ça restait tout de même une bande d'incapable. Habituellement on fait honneur et on se bat en légal, mais bon.

Je ne vais sûrement pas faire rire de moi et laisser passer ça sans rien faire contre une bande de crétins comme vous. J'ai déjà deux personnes qui le font, c'est bien suffisant pour moi. Je risque pas d'en laisser d'autre le faire.

- Où tu crois aller comme ça, baka ? C'est pas parce que tu t'es entouré de tes petits amis que tu peux facilement venir me rire au visage. Je me fiche bien que vous soyez dix, quinze ou même vingt contre moi. Je vais vous réduire en bouillie quand même.

Mes copains éclataient carrément de rire à ses paroles, mais pas moi. Je me retourne et le regarde, il était hors de question qu'il implique mes potes dans ses affaires. Et encore moins d'accord à ce qu'il veule ce battre avec eux.

- Partez je vous rejoindrais.

Mes copains hoche la tête et s'éloigne. C'était certain que je les impliquerais pas la dedans alors que c'est moi qui avait des embrouilles. J'étais le seul et unique responsable dans cette histoire alors, il n'avait pas a vouloir impliquez mes amis la dedans.

- Je ne vais sûrement pas faire rire de moi et laisser passer ça sans rien faire contre une bande de crétins comme vous. J'ai déjà deux personnes qui le font, c'est bien suffisant pour moi. Je risque pas d'en laisser d'autre le faire.

Bah voila il y avait deux personnes de plus avec moi pour ce moquer d'un gosse comme lui. Car il était irréaliste et plutôt débile faut dire. Je déposais mon sac de sport par terre et le regardait droit dans les yeux. Mes copains c'était éloigné c'était tant mieux comme ça.

- Bon et si t'arrêtais de te plaindre maintenant, lançais-je.

J'ai pas que ça a faire moi écouter sa vie et ce qu'il raconte c'est moche et ennuyant après tout. J'ai déjà de ma vie a m'occuper la sienne ne m'intéresse pas du tout loin de la. Il me répugne ce mec. Je le déteste tellement et je sais même pas son nom alors ca va pas bien pour lui quoi.

- Et si on réglais ça maintenant car sinon tu me lâcheras pas et t'es discours ne m'intéresse surtout pas d'ailleurs.

Je m'avançais tranquillement vers lui. Je savais très bien que la police pourrait arrivé, mais je m'en fichais la j'en avais marre d'entendre ce mec et qu'il arrête pas de ce plaindre et de dire ça et ça. Ca devient lourd à la fin.

Messages : 284 Date d'inscription : 17/04/2009 Age : 40

Au moins, il pouvait se rendre compte que ce crétin était loyal, puisqu'il avait éloigner ses copains. Ça ne sera pas un de ses combats où il devait être sur ses gardes. Il lui suffirait cette fois d'être bien tranquille et de se concentrer sur sa seule cible.

- Bon et si t'arrêtais de te plaindre maintenant.

Lui se plaindre ? Mais où est-ce qu'il sortait ça lui ? C'est pas parce qu'il lui avait dit que deux personnes de plus se moquaient de lui, qu'il fallait appeler ça se plaindre. Mais bon, quand on est crétin, on le reste toute sa vie. Et des crétins comme lui, il en existait à tout les coins de rues.

- Et si on réglais ça maintenant car sinon tu me lâcheras pas et t'es discours ne m'intéresse surtout pas d'ailleurs.

Il s'avança vers lui après avoir déposer son sac sur le sol. Et voilà, il était fin près à réglé ça. Il était temps quand même. Il avait bien cru que celui-ci allait s'enfuir de nouveau sans rien vouloir réglé de tout ça. Lui qui l'avait prit pour un imbécile, faut croire qu'il s'était trompé.

- Enfin je vais pouvoir m'amuser un peu.

Un léger sourire en coin prit place sur ses lèvres. Bien sûr il allait devoir s'assurer quand même que les amis de cet idiot n'interviennent pas avant la fin. Sinon, il risquait fort bien de se retrouver sur le sol rapidement. Il flanqua d'abord un coup de poing sur la mâchoire du jeune homme, suivit d'un dans le ventre.

- Tu sais, tant que tu n'accepteras pas de me suivre, je vais continuer ainsi. Il suffit simplement que tu me dise oui et tout sera réglé.

Il envoya balader son genoux dans l'estomac du jeune homme en souriant.

- Ça doit faire mal quand même ? C'est vraiment dommage que ça en vienne jusque là. Ça pourrait pourtant être si simple.

- Enfin je vais pouvoir m'amuser un peu.

Je sentis une douleur sur ma mâchoire et ensuite sur mon ventre, je perdit le souffle d'un coup et me penchais sur moi même en cherchant à reprendre mon air. Nah, mais ce mec était complètement taré quoi ? Je me redressais vaguement et regardais ce débile.

- Tu sais, tant que tu n'accepteras pas de me suivre, je vais continuer ainsi. Il suffit simplement que tu me dise oui et tout sera réglé.

J'eus un second coup dans le ventre et je tombais à genoux sur le sol en toussant. Il croyait vraiment que j'allais lui dire oui ? Il peut toujours rêver quand même. C'est pas comme ça qu'il me mettra dans sa poche ce crétin. Je me redressais une nouvelle fois.

- Ça doit faire mal quand même ? C'est vraiment dommage que ça en vienne jusque là. Ça pourrait pourtant être si simple.

Si simple si, il n'était pas la oui. Je voulais pas me battre en fait, mais apparemment, j'avais pas le choix pour me faire comprendre. Je m'avançais vers lui et lui foutu un coup de pied et le genoux pour le déstabiliser. Je lui balançais une droite sur la gueule.

- C'est pas comme ça que je dirais oui crétin. Et quand, je dit de m'oublier c'est sérieux. Je veux pas faire parti de t'es plan.

Je lui foutu une gauche sur la gueule et me reculais pour le regardais un moment c'était tellement pas mon genre de me battre d'ailleurs. Mais faut dire qu'il l'avait chercher ce mec. Je sentais des présence près de moi. Je vis mes amis.

- Resté en dehors de ça, criais-je.
- Mais Kazuya-Kun.
- Resté en dehors ça...

J'avais les dents serré, je m'avançais vers le mec et lui donnait à mon tour un violent coup dans le ventre a mon tour. Ça faisait trois qu'il me donnait depuis le début de la journée j'en avais un peu marre en fais de me faire tapé a cette endroit.

- Tu ferais mieux de vraiment m'oublier mon grand. C'est pas parce que tu as toujours eux ce que tu voulais que je vais m'agenouiller devant toi pour être dans tes poches. Ça tu peux rêver.

Je me redressais et le regardais avec mépris en espérant que cette fois, il aurait compris que je ne le suivrais pas malgré ce qu'il pourrait me dire, je dirais non à ce qu'il veut.

Messages : 284 Date d'inscription : 17/04/2009 Age : 40

Il resta d'abord surpris en sentant les premiers coups de réplique de la part du jeune homme. Faut dire qu'il avait plus de courage qu'il ne le pensait. C'est évident qu'il avait besoin de lui pour ses plans. Et peut importe le prix à payer, il le payerait pour avoir ses services.

- C'est pas comme ça que je dirais oui crétin. Et quand, je dit de m'oublier c'est sérieux. Je veux pas faire parti de t'es plan.

Il lui balança un nouvelle droite sur la mâchoire avant qu'il ne s'aperçoivent que ses mais n'étaient près de lui. Il aurait bien dû se douter que ceux là voudraient venir à sa défense. Mais à son grand étonnement, le jeune homme leur ordonna de rester en dehors de ça. Voilà vraiment quelqu'un qui pourrait l'aider s'il l'avait dans la poche.

- Tu ferais mieux de vraiment m'oublier mon grand. C'est pas parce que tu as toujours eux ce que tu voulais que je vais m'agenouiller devant toi pour être dans tes poches. Ça tu peux rêver.

Un léger rire s'échappa de ses lèvres alors qu'il se relevait du sol. Si lui avait toujours eut ce qu'il voulait, il lui manquait encore quelque chose. Et il allait l'obtenir si ce jeune homme s'alliait à lui.

- Tu n'as pas besoin de t'agenouiller devant moi tu sais. Le simple fait d'être à mes côtés, te donnera l'avantage à toi aussi dans cette ville. Tu auras tout autant le contrôle que moi. Il te suffit simplement de t'allier à moi. Tu me seras très utile pour contrôler tout ces abrutis.

Et ensuite, il lui suffirait de lui donner la ville une fois qu'il aurait eu ce qu'il souhaitait. De toute façon, ce n'était pas la ville qui l'intéressait. Mais seulement ce qu'elle lui apporterait par la suite. Son plus grand rêve se réaliserait lorsqu'il aurait le contrôle de cette ville. Mais sans l'appui de ce jeune homme, il risquait fort bien de devoir oublier tout ça. Ce qu'il ne pouvait toléré de laisser faire.

- Tu n'as pas besoin de t'agenouiller devant moi tu sais. Le simple fait d'être à mes côtés, te donnera l'avantage à toi aussi dans cette ville. Tu auras tout autant le contrôle que moi. Il te suffit simplement de t'allier à moi. Tu me seras très utile pour contrôler tout ces abrutis.

Mais, il était sourd ou quoi ? J'ai dit non bordel et il s'acharne encore en pensant que je vais changé d'avis. Mais non au contraire, je reste sur la même position qu'au départ, je changerais pas d'avis paff comme ça. Je suis quand même jusqu'à un certain point débile, mais on va pas continué.

- Je suis pas intéressé par ton offre.

J'étais vraiment pas intéressé a pouvoir contrôler des gens. Chaque personne avait le droit de vivre sa propre vie sans problème et ce mec voulait contrôler les gens et ça, je ne supportais vraiment pas ce genre de comportement donc la il pouvait continué de courir.

- Oublie ça je me mettrais pas à t'es côtés pour une telle chose. J'ai ma position et je la garde c'est de m'opposer. C'est assez simple ne ?

Il était vraiment buté si, il continuait encore, car j'étais pourtant clair quand même.

Messages : 284 Date d'inscription : 17/04/2009 Age : 40

- Je suis pas intéressé par ton offre.

Pas intéresser ? Pourtant, il connaissait un multitude de personnes qui auraient aimé être à ça place juste pour avoir la chance de se voir offrir une telle offre. Mais bon, comme il le croyait cet imbécile avait la tête dure et il savait qu'il ne le ferait pas changer d'idée comme ça. Il suffisait de trouver une excellente raison pour qu'il puisse le suivre. Découvrir ce qui le ferait changer d'avis rapidement.

- Oublie ça je me mettrais pas à t'es côtés pour une telle chose. J'ai ma position et je la garde c'est de m'opposer. C'est assez simple ne ?

En fait, c'était simple et clair pour n'importe qui. Mais pour lui, ce n'était pas toléré un tel refus. Il le voulait à ses côtés et il l'aurait. Peut importe le temps que ça prendrait. Cet abruti finirait bien par changer d'idée un jour ou l'autre.

- Parfait, je me résigne. Tu fais vraiment poule mouillée en ce moment. Je croyais avoir à faire un vrai homme, mais faut croire que je suis simplement tombé sur un gamin. Tant pis, ça m'apprendra à faire des jugements au premier regard.

Il se détourna avant de s'éloigner vers le terrain de sport.

- Au fait, dit-il en se retournant. Ne vous aviser plus d'approcher cet endroit. IL m'appartient à présent et seul ceux qui ont la chance d'être à mes côtés peuvent le fréquenter.

Il fit un petit sourire en coin avant de finalement entrer dans l'établissement. Cet imbécile finirait bien par changer d'idée un jour ou l'autre. Il suffisait de lui laisser le temps de réaliser la chance qu'il venait de laisser filer entre ses doigts.

- Parfait, je me résigne. Tu fais vraiment poule mouillée en ce moment. Je croyais avoir à faire un vrai homme, mais faut croire que je suis simplement tombé sur un gamin. Tant pis, ça m'apprendra à faire des jugements au premier regard.

Une poule mouillé ? Nah, mais c'est n'importe quoi ce qu'il raconte ce débile. Il retournais vers le terrain de sport. Je soupirais et secouais doucement la tête.

- Justement si, je serais une poule mouillé, je me rangerais sûrement de ton côté par peur, mais tu vois le fait que je te tienne tête prouve que je suis un homme. Traite moi de gamin ou d'enfant, je m'en fiche. Tu reste un petit gosse de riche à mes yeux.

Les mecs qui était avec moi rigolèrent un moment et il me tend mon sac de sport que je remet sur mon épaule. On tournait les talons pour partir, mais j'entendis sa voix, je me retournais donc.

- Au fait, dit-il en se retournant. Ne vous aviser plus d'approcher cet endroit. IL m'appartient à présent et seul ceux qui ont la chance d'être à mes côtés peuvent le fréquenter.

On haussait un sourcil et éclatait de rire comme si cela nous dérangeais...Il y avait plein d'endroit ou on pouvait s'amusé et profiter de chaque place pour faire du sport.

- On s'en fiche de toute façon, je doute qu'on revienne ici. Il y a bien d'autre endroit pour s'amuser.

On parti finalement pour allé dans un café plus loin. J'espère qu'il ne suivra pas jusque la sinon, il est vraiment borné celui la. Et il ne me dérange pas du tout. Il va juste voir que je lui tient encore tête c'est tout.

- Il est vraiment cinglé ce mec.
- Hai.

On éclate de rire et traverse la rue pour ce rendre au café tranquillement en rigolant et en changeant de sujet. Je sais très bien que je dois avoir des marques sur la mâchoire, mais je m'en fiche.

Messages : 284 Date d'inscription : 17/04/2009 Age : 40

- On s'en fiche de toute façon, je doute qu'on revienne ici. Il y a bien d'autre endroit pour s'amuser.

Là par contre il venait de lui donner une excellente idée. Il n'avait pas besoin de s'approprier que le terrain de sport. S'il voulait, la ville entière pouvait lui appartenir, ne lui resterait qu'à convaincre les habitants de lui céder le pouvoir. Ainsi, plus aucun problèmes ne pourraient surgir. Ses parents auraient de quoi être fier de lui. Il aurait réussit à tout faire pour enfin être acceptés par eux. Et peut-être même qu'enfin ils allaient l'aimer comme leur propre fils et non comme un bon à rien.

Il se dirigea vers son nouveau bureau et y prit place en poussant un soupir. C'était bien de posséder un tel endroit, mais ça n'apportait pas grand chose. Seulement quelques dollar de plus dans ses poches. Ce n'était pas ça qui allait l'aider à devenir la maître de cette ville. Il lui fallait ce jeune homme coûte que coûte. Ainsi, les choses seraient beaucoup plus faciles à réaliser. Mais comment le convaincre que ses plans étaient une occasion en or pour lui. Déjà que ça devait paraître assez étrange de voir quelqu'un qui veut s'approprier une ville, ça doit l'être encore plus avec les raisons pour lesquelles il le fait. Mais bon, il n'avait pas vraiment le choix. C'était ça, ou rien du tout.

- Monsieur ?

Il leva les yeux vers l'homme qui se tenait devant lui. Qu'est-ce qui se passait encore ? Il lui fit signe de poursuivre tout en réfléchissant à une solution.

- On a un problème avec les jeunes.

Et voilà, les ennuis ne faisaient que commencer. Il se leva de sa chaise, bien décidé à aller réglé ça lui même.

[Terminer]