Réveil...Pourquoi ? [Tomo-Chan]

- Je te le promets aussi.

Un sourire se ce dessina sur mes lèvres est-ce qu'il y avait d'autre mot plus mieux que cela en ce moment même ? Non certainement pas c'était évidant tout simplement.

- Tu m'es trop précieux.

Je souris d'avantage c'était la même chose pour moi. Tomohisa m'était beaucoup trop précieux pour que je le laisse partir, je voyais pourtant que cela comme solution tout à l'heure, mais je savais que ça m'était impossible de le laisser partir comme ça.

- Tu m'est si important que si tu cessais d'exister, je cesserais d'exister moi même.

Je ne verrais même pas la raison de continuer de vivre si, il n'était pas la. Je soupire doucement.

- Tu m'es si important que si tu cessais d'exister, je cesserais d'exister moi même.

Il soupira doucement, je me retins de faire de même. Je savais que je ne lui survivrais pas longtemps moi non plus, mais je préférais ne pas lui dire... cela le peinerait de savoir que je me suiciderais après sa mort.
Je me penchais à nouveau sur lui et déposai un baiser sur son front.

- Alors j'existerais... rien que pour toi, toujours pour toi...

Je lui souris et l'embrassai à nouveau. Jamais rien ne pourrait me faire vivre "après", c'était inconcevable et totalement impossible. Kazu était l'autre moitié de mon âme, c'était ainsi et je ne pourrais jamais être amoureux de quelqu'un d'autre.

- Alors j'existerais... rien que pour toi, toujours pour toi...

Je lui rends son sourire alors qu'il m'embrasse une nouvelle fois. Il vivrait pour deux quand, je ne serais plu la c'est la seule chose que je pouvais me dire en ce moment. À moins que je ne réussisse à obtenir ce que je veux réellement. Mais ça je pouvais aussi en douter encore un peu.

- Je t'aime Tomohisa. Et j'ai besoin de toi, je m'excuse pour tout à l'heure.

Ça avait été une solution de dernier espoir pour moi, je croyais qu'en faisant cela les choses pourrait s'arranger, mais au contraire les choses ne s'arrangerais jamais si nous étions pas ensemble. Et il faut que je réalise cela. Il m'était impossible de m'éloigner de lui.J'attrapais sa main et la portais à mes lèvres.
En étant avec lui j'étais en sécurité ou pas...Mais je m'en fichais du moment que j'étais avec lui c'était l'important.

(un mois et 11 jours après xD)

- Je t'aime Tomohisa. Et j'ai besoin de toi, je m'excuse pour tout à l'heure.

Mon sourire revint sur mes lèvres en entendant ses mots, puis il porta ma main à ses lèvres pour l'embrasser. Je le serrai contre moi et posai ma tête sur la sienne, inspirant doucement sa douce odeur.

- Ne t'en fais pas, c'est oublié...

En vérité, ça ne l'était pas vraiment, mais j'avais envoyé ce souvenir dans un coin de mon esprit où il ne pourrait plus me blesser et où il ne pourrait que me rendre plus fort et plus apte à protéger l'ange dont j'étais tombé amoureux. Je déposai un baiser sur sa tempe.

- Je t'aime aussi.

Je ne voulais plus que nous nous fachions pour ce genre de chose, mais je savais bien qu'un jour où l'autre je devrais réellement y faire face... je savais qu'avec le temps il arriverait à briser mes réticences et que je ferais ce qu'il voudrait... tout ce que je pouvais faire c'était tenir le plus longtemps possible face à cela car je ne voulais pas le voir aussi malheureux que je l'avais été quand j'avais été transformé.
Je soupirai doucement, qu'est-ce que je me sentais bien quand il était dans mes bras... il n'y avait définitivement rien de plus important que lui dans ma vie.

- Ne t'en fais pas, c'est oublié...

J'étais content s'il avait oublié...enfin, j'étais persuader que en fait, il n'avait pas oublié il disait seulement ça pour me rassurer voilà tout. Mais n'était-ce pas mieux comme ça ? Sans doute que oui c'était mieux comme ça, mais bon et puis maintenant, il fallait que compter que sur nous deux et ce fier qu'a nous deux pour s'en sortir. Demander l'aide de quelqu'un était impossible.

- Je t'aime aussi.

Mon coeur tapa contre mes côtes comme à chaque fois d'ailleurs c'était toujours comme ça de toute façon. C'est simple mot avait beaucoup d'impact sur moi si, il était prononcer par lui. Car je suis sur que quelqu'un d'autre me les dirait et je resterais probablement de froid. mais une question me taraudait. Je sais que je ne devrais pas me poser une tel question, mais pourtant, elle était belle et bien la. Je plaquais mes mains sur le torse de Tomohisa et me décalais un peu de lui.

- J'ai une question à te poser.

Je fis un faible sourire et maintenant, je cherchais mes mots. C'était tout moi ça. Je voulais poser une question, mais côté pour les poser j'étais nulle. Et j'avais peur qu'il le prenne mal en plus. Ce qui serait vraiment nulle en fait à bien y penser.

- Je veux que tu me répondre avec honnêteté...Mon sang t'a-t-il plut ?

Pourquoi voulais-je le savoir au fond ? J'en savais trop rien. Quoi que peut-être que oui inconsciemment je savais, mais pour le moment je n'y pensait pas du tout.

Je fus un peu surpris en sentant ses mains sur mon torse, et il s'écarta de moi. Je baissai les yeux sur son visage pour le regarder, comprenant que quelque chose le perturbait.

- J'ai une question à te poser.

Il me sourit et j'avais comme un mauvais pressentiment. Je voyais bien, à l'expression de son visage, que ce qu'il voulait me demander ne devait pas être simple... ou était-ce gênant? Sans doute un peu des deux, je le sentais... mais j'attendais simplement alors qu'il cherchait ses mots, je ne devais pas le brusquer bien qu'il devait bien y avoir une raison pour que je sois sur mes gardes tout d'un coup.

- Je veux que tu me répondre avec honnêteté...Mon sang t'a-t-il plu ?

Je serrai les mâchoires, répétant ces mots dans ma tête pour être certain de ce qu'il venait de me demander. Et après quelques secondes j'en vins à la conclusion qu'il m'avait réellemetn demandé si j'avais aimé le gout de son sang... comment pouvais-je répondre à cela? "Avec honnêteté" mais qu'est-ce que ça voulait dire? A quoi ça pourrait bien lui servir de savoir une telle chose, je me le demandais... pourquoi s'embêtait-il avec des questions de ce genre? Pourquoi devait-il parler de ça ici alors que quelqu'un pouvait arriver à n'importe quel moment? Certes, j'entendrais, mais il monopolisait tellement mon esprit à cet instant que je ne savais même pas si je serais capable de calculer qui que ce soit.

- P-pourquoi?

Je secouai doucement la tête en soupirant. ça me dépassait, sa question me prenait tellement de court... Je le lachai pour passer une main sur mon visage et je me tournai sur le dos pour poser mon regard sur le plafond.

- Je ne veux pas y penser... le fait même que j'ai gouté ton sang me répugne... tu n'imagines pas à quel point je me sens encore plus un monstre maintenant que le gout de ton sang est ce dont je vais avoir le plus envie...

Maintenant il avait la réponse à sa question et il savait aussi combien je détestais la réponse que je lui avais donné. J'espérai qu'il était content, j'avais été honnête après tout, ne? J'étais un monstre, j'aimais un ange et son sang était ce que je désirais le plus au monde - en dehors de lui bien entendu -.

- P-pourquoi?

Il secoua la tête et il me lâcha encore une fois, il aurait valu mieux que je me taise, j'en étais certain, il ce tourna sur le dos et posa son regard sur le plafond. En fait maintenant que je lui avais poser la question je le regrettais de l'avoir fait, je n'aurais pas du lui poser une tel question quand, je regarde ça.

- Je ne veux pas y penser... le fait même que j'ai gouté ton sang me répugne... tu n'imagines pas à quel point je me sens encore plus un monstre maintenant que le gout de ton sang est ce dont je vais avoir le plus envie...

Je posais mon regard sur lui et baissais la tête finalement je n'aurais peut-être pas du lui poser la question. J'étais content qu'il soit honnête, mais ce que je n'aimais pas c'est qu'il ce disait être un monstre. Et ce n'était pas vrai. Pour moi à mes yeux, il était loin d'être un monstre. Il m'avait sauver la vie...j'en étais persuader maintenant. Mais jamais je le considérerait comme un monstre, j'en serais probablement incapable d'ailleurs.
Juste de penser à cette éventualité ça me dérangeait alors impossible que je le traite de monstre. C'était totalement impossible.

- Tu n'es pas un monstre Tomohisa. Arrête de dire cela...Peut-être me croiras-tu fou...

Je soupirais doucement et passais ma main nerveusement dans mes cheveux. Je savais trop bien que je me jetais sur un champ de mine en ce moment même c'était carrément ça en fait. Je me jettais sur un terrain très dangereux.

- Mais si tu ne risquait pas de me transformé juste en me mordant, je crois que je serais ton E...

Il allait comprendre ou je voulais en venir, j'avais pas besoin de m'éterniser la dessus. Mais je redoutais sa réaction fasse a mes paroles maintenant. Je soupirais doucement et remontait la couverture sur moi. Je le regardait toujours attendant sa réaction.

Je sentis son regard sur moi, puis se détourner. Je laissai mon regard s'évader vers la fenêtre, il faisait maintenant nuit noire et la pluie s'était un peu calmée, ce qui n'était pas plus mal... la pluie me mettait toujours dans un état pas possible, comme quoi même un vampire pouvait être amorphe parfois.

- Tu n'es pas un monstre Tomohisa. Arrête de dire cela...Peut-être me croiras-tu fou...

Je soupirai. Pas un monstre? Mais qu'est-ce qui lui fallait pour se rendre compte de ce que j'étais? Ah, au fond je préférais qu'il ne me voie pas de la même façon que moi... d'ailleurs, nous n'en serions pas là en cet instant je crois. Pourtant, il avait toutes les raisons de le penser, n'avais-je pas bu son sang? N'avais-je pas, l'espace d'un instant, pensé que je ne voulais pas arrêter? Son cou si fin se déchirant sous mes crocs, son sang coulant sur mes lèvres, ma langue et dans ma gorge, je n'avais jamais rien ressenti d'aussi fort.

- Mais si tu ne risquais pas de me transformer juste en me mordant, je crois que je serais ton E...

Je tournai la tête vers lui, complètement choqué par ce qu'il venait de me dire. Mais qu'est-ce qu'il avait dans la tête!? Je serrai les dents, empêchant ma fureur d'éclater. Je me relevai du lit et m'écartai de lui sentant que ma réaction première avait été de vouloir le gifler pour avoir osé dire ça. Je m'appuyai au mur et posai une main sur mon visage.

- T-tu... tu crois vraiment que si c'était possible je te laisserais te donner à moi de cette façon!?

C'était totalement impensable, il souffrirait tellement si je le mordais à chaque fois que j'avais soif... je préférerais encore attaquer d'autres humains, tuer des dizaines de personnes plutôt que de m'attaquer à nouveau à lui. En plus, maintenant mes proies c'était les animaux, les pumas et les ours qui vivaient dans la forêt près de la ville. Je me laissai glisser le long du mur.

- Comment tu peux imaginer que je...

Ma voix se bloqua quand j'entendis les pas de plusieurs infirmiers dans le couloir, le bruit des roues d'un brancard et je sentis du même coup l'odeur d'un sang qui s'écoulait lentement hors d'un corps. Ils étaient à l'autre bout du couloir mais l'absence d'odeur réel dans cet hôpital faisait que je sentais le sang comme s'il était dans la même pièce que moi, juste à côté de moi, et ils étaient en train de traverser le couloir... ils s'approchaient.

- T-tu... tu crois vraiment que si c'était possible je te laisserais te donner à moi de cette façon!?

A quoi m'attendre de plus comme réaction venant de sa part ? Je savais parfaitement que ce que je venais de dire ne lui plaisait pas, mais pourtant, je le pensais...Pourquoi pensais-je ainsi ? J'en avais pas la moindre idée quoi que la réponse était pourtant plus que évidente. Je voulais pouvoir l'aider peut importe les circonstances. Mais apparemment lui ne voulait pas.

- Comment tu peux imaginer que je...

Sa voix s'arrêta, je me redressais dans le lit voyant bien que quelque chose n'allait pas. Je retirais le drap de sur moi et descendit du lit. Et cette fois-ci mon corps me supporta. Et bien je n'aurais pas cru que ça arriverait enfin ça. C'était sûrement mieux comme ça de toute façon. Je m'avançais vers lui et posais ma main sur sa joue.

- Que je ? Tomo-Chan qu'est-ce que tu allais dire ?

Je voulais savoir j'étais curieux tout simplement. C'était normal après tout que je le sois. Mais bon...Quand on y repense quand même c'est dur a croire ne ? J'avais vraiment dit la seule chose que je ne devait pas dire. Mais moi je le disait tout simplement.

- Qu'est-ce que tu as Tomohisa ?

Je le regardais avec un regard doux en espérant qu'il me répondre, c'était la seule chose que je souhaitais en fait. Qu'il me dise ce qu'il voulait me dire et pourquoi il était comme ça maintenant.

Je perçus le froissement des draps, signe que Kazuya se levait du lit et qu'il allait probablement s'approcher de moi. Pourtant c'était tout sauf le moment de jouer les imprudents avec un vampire. D'un coté, je voulais que le brancard n'avance plus, quitte à avoir cette odeur toujours présente, d'un autre côté je voulais qu'il se dépêche de passer, ainsi Kazu pourrait l'entendre et il comprendrait sûrement, mais l'odeur serait aussi bien plus forte et Kazu risquait encore bien plus.
Je relevai les yeux vers Kazu quand je sentis ses doigts se poser sur ma joue, ses doigts chauds, je sentais les pulsations de son sang.

- Que je ? Tomo-Chan qu'est-ce que tu allais dire ?

J'entendais sa voix mais ne m'intéressait pas au sens des mots qu'il prononçait, je me concentrai malgré moi sur son sang dont je sentais le mouvement, sur le sang du malade dont je sentais l'odeur, et je me demandais duquel j'avais le plus envie.

- Qu'est-ce que tu as Tomohisa ?

La brûlure dans ma gorge redoublait d'intensité et mes yeux devaient maintenant être flamboyant tellement j'avais soif. J'entrouvris la bouche, le brancard se rapprochait lentement, tellement lentement, trop lentement. Il n'y avait plus que l'envie de boire du sang dans ma tête, je ne songeai à rien d'autre, je ne voyais plus rien d'autre. J'eus même peur que Kazu ne devienne qu'une simple proie.
J'attrapai brusquement ses poignets et la phrase que j'avais coupé fini de sortir de ma bouche d'une voix sifflante.

- ... te ferais souffrir pour avoir du sang...

Je le plaquai au sol et mes lèvres se plaquèrent sur les siennes, je l'embrassai férocement, mordant ses lèvres.

- Il y a... du sang... soufflai-je. Kazu...

Un grondement sourd monta de ma poitrine, je fermai les yeux, essayant de me reprendre alors que l'odeur était de plus en plus forte. Les battements du coeur de Kazu accéléraient, son sang pulsait de plus en plus vite, m'alléchant...

Alors qu'il me répondait toujours pas, je commençait à me dire que je devrais peut-être retourner sur le lit. Mais il attrapa brusquement mes poignets et je le regardais limite choquer. Et sa voix fut sifflante. Jamais au par avant j'avais entendu ça...

- ... te ferais souffrir pour avoir du sang...

Il me plaqua au sol sans que je n'est le temps de réagir. Ses lèvres se plaquèrent sur les miennes les mordant. Je me retins de pousser un cris de stupeur alors qu'un bruit provenant du corridor venait à mes oreilles. Plus j'écoutais et plus je comprenait que c'était un brancard.

- Il y a... du sang... souffla-t-il. Kazu...

Le grognement qui ce fit entendre ensuite me tétanisa sur place. Je ne savais pas du tout comment réagir maintenant. Et mon coeur s'accélérait dans ma poitrine c'était pas bien ça. J'essayais de libérer mes poignets de sa poigne, mais il ne me lâcha pas. Et je n'avais pas la force pour me débattre.

- Tomohisa reprends-toi...

Ma voix ne fut qu'un murmure je me mordis la lèvre, mais pas à sang on s'entend. Mais je ne voulais surtout pas qu'il parte dans le corridor à cause de sa soif. Ça ne serait vraiment pas malin de sa part, je dois dire. Mais qu'est-ce qu'on pouvait y faire ? Qu'est-ce que je pouvais faire. Le seul moyen de détourner son attention de ce qui ce passait dans le couloir.

- Tomo-Chan.

Je tirais sur mon poignet une nouvelle fois et la douleur fut assez rapide. La perfusion c'était arracher. Loin de la que ce soit mon but, je voulais me libéré. Mais contre lui qu'est-ce que je pouvais faire ? Probablement rien de toute façon. Je fermais les yeux, mais j'avais l'impression que l'aiguille était toujours dans ma peau ou était-ce simplement la douleur...

Je sentais qu'il tirait sur ses bras pour essayer de se dégager, mais mes mains de desserraient pas leur prise, et il y avait peu de chance pour qu'il puisse se débarasser de moi aussi facilement.

- Tomohisa reprends-toi...

J'avais beau essayé, ma soif était bien trop forte, j'avais été trop tenté depuis hier soir sans pouvoir me rassasier pour avoir la force de me retenir ce coup-ci. Mais j'avais peur que ce soit le sang de Kazu que je prenne, la partie de moi qui n'était pas encore pervertie par mes instincts de vampire ne voulait pas blesser Kazu. En réalité je ne savais vraiment plus quoi faire pour réussir à prendre le dessus.
De plus, le malade, les infirmières et surtout le sang se rapprochaient toujours de la chambre.

- Tomo-Chan.

Il tira une nouvelle fois sur son poignet et je me figeai en sentant le sang toucher mes doigts, je tournai les yeux et vis que la perf' avait lâché, c'était pas étonnant en fait... Je lâchai donc son poignet et approchai ma main de ma bouche, fermant les yeux, je humais l'odeur de son sang si chaud. Je léchai mes doigts puis posai ma main au sol en me penchant sur Kazu à nouveau.

- Pardonne-moi...

Je déposai un baiser sur sa carotide et sentant les battements de ce coeur que j'aimais tant le mien se contracta brusquement. Ma bouche s'entrouvrit et quand mes lèvres effleurèrent à nouveau sa peau je ressentis une grande douleur qui vrilla mes entrailles.

- Ite...

Je m'écartai de lui alors que mon esprit commençait à s'embrumer. Je me laissai tomber sur le sol, la douleur ne cessait pas, je ne comprenais pas ce qui m'arrivait et ça m'effrayait. Mes yeux se fermèrent lentement.

- Pardonne-moi...

J'étais complètement paralysé sur place. Alors que je sentis ses lèvres se posé sur ma carotide, je ne pu toute fois pas retenir un frisson de me traverser. Même si ce n'était pas la situation pour ça c'était plus fort que moi. Ses contacts me faisaient toujours un tel effet. Puis ses lèvres effleurèrent encore une fois ma peau, mais cette fois j'étais persuadé que sa bouche était ouvert. Je fermais les yeux...

- Ite...

Il s'écarta de moi finalement et je me redressais alors qu'il s'effondrait par terre. Mais c'était quoi ça ? Puis, je vis ses yeux qui commençait à se fermer. Je m'approchais de lui et le secouais.

- Tomo-Chan, dis-je.

Aucune réaction...Han, mais il me fait quoi la ? Puis ma main s'écrasa violemment sur sa joue. Mais je me fis plus mal moi même que je pouvais lui en avoir fait d'un coup. Mais pourtant le bruit avait résonné dans toute la chambre.

- Tomohisa, dis-je d'une voix peu assuré.

Je serais sûrement mieux de quitté la pièce. Mais je ne pouvais pas le laissé la comme ça sans savoir ce qu'il avait. Et plutôt qu'est-ce qui ce passait. Cet hôpital n'amenait rien de bon mais vraiment rien. Depuis qu'on était la y se passait rien de bon.