Repos avec de l'amour ? [Tomohisa]

- Si tu le dis. Mais cesse de penser à "lui".

Je baissai la tête et soupirai. C'était apparemment pas bien dur de savoir à quoi je pensais, mais dans la situation où nous étions c'était sans doute normale après tout. Je relevai les yeux vers Kazu.

- Je vais essayer.

Je lui souris à nouveau. Je savais qu'il fallait pas seulement que j'essaye, je devais réussir à me l'enlever de la tête pour quelques heures au moins, mais je n'étais pas sûr d'y parvenir, alors...

- Je vais essayer.

Je laisse un petit sourire ce dessiner sur mes lèvres j'espère bien qu'il allait essayer même si au fond, j'aurais plus espérer d'accord. Mais bon en même temps je comprends qu'il pense à cet abrutis. Je suis sur qu'il va essayer de le localisé. Je me lève et range le nutella dans le placard. Je me place derrière Tomohisa et place mes bras autour de son cou. Et je dépose ma tête sur son épaule.

- Pensons seulement au moment présent. Laissons-le de côté pour tout de suite, murmurais-je près de son oreille.

Je déposais un baiser sur sa tempe. Même si au fond, j'aurais du lui dire que la voix de ce vampire, il me semble que je la connais. Elle ne m'est pas inconnu.

Il se releva après quelques instants et rangeai le pot de nutella. Puis il s'approcha de moi avant de passer ses bras autour de mon cou et de poser sa tête sur mon épaule.

- Pensons seulement au moment présent. Laissons-le de côté pour tout de suite, murmura-t-il près de mon oreille.

Je hochai la tête et appuyai ma tête contre son épaule.

- Oui, gomen.

J'essayai de ne pas penser aussi au fait qu'il me cachait quelque chose. Je le saurais certainement tôt ou tard. Encore une fois je n'avais qu'à attendre un peu.

- Oui, gomen.

Même si, je savais que de penser que seulement au moment présent était maintenant quelque chose de difficile à cause de ce vampire, mais je suis sur qu'on arriverait enfin qu'il y arriverait. Ma main caressa doucement sa nuque du bout des doigts.

- Je t'aime, dis-je doucement.

Je fermais doucement les yeux êtres près de lui était tout simplement la chose que j'aimais le plus dans ce monde. Et maintenant je le collerais, je ne le quitterait plus. J'en serais incapable.

Je frissonnai légèrement quand ses doigts effleurèrent ma nuque.

- Je t'aime.

Plus que d'habitude, ses mots m'apaisèrent. Je devais certainement être très préoccupé pour que ces mots déjà si puissants puisse me faire encore plus d'effet qu'à l'accoutumée. Un sourire se dessina sur mes lèvres et je tournai la tête vers Kazuya qui avait fermé les yeux. Je déposai un baiser sur sa joue alors que l'une de mes mains attrapait la sienne.

- Je t'aime aussi.

Je glissai ma bouche jusqu'à la sienne et l'embrassai tendrement.

- Je t'aime aussi.

Je souris doucement et je sentis ses lèvres se posé sur les miennes. Je frissonnais doucement et répondis à son baiser. Un baiser si magnifique et délicieux. J'aimais ses baiser tout somme ses lèvres si parfaite qui savait me faire voir l'amour avec un grand "A". On était bien la preuve vivante que l'amour existait réellement et qu'il n'était pas seulement une simple invention. Je mis fin au baiser après quelques minutes.

- Tu es vraiment tout ce qui compte pour moi.

C'était bien vrai , ma main libre caressa doucement sa joue du bouts des doigts.

- Même la pire journée n'en est pas une car tu es la à mes côté. Il suffit seulement que ta présence soit la et ma journée est magnifique. Même un jour de pluie ne me déprime pas.

Du moment que Tomohisa est près de moi, je pouvais vraiment que sourire et aimé chaque journée passé avec lui.

Mon ange répondit à mon baiser et cet adorable échange dura de douces minutes jusqu'à ce qu'il y mettre fin.

- Tu es vraiment tout ce qui compte pour moi.

Je souris alors qu'il caressa doucement sa joue, je frissonnai légèrement.

- Même la pire journée n'en est pas une car tu es là à mes côté. Il suffit seulement que ta présence soit la et ma journée est magnifique. Même un jour de pluie ne me déprime pas.

Ses paroles me faisaient vraiment plaisir, il avait réussi à mettre des mots sur la puissance de l'amour qu'on se portait l'un à l'autre dans une certaine mesure, même si c'était bien bien plus immense que ça.

- J'ai enfin trouvé un but à mon semblant de vie mon ange. Sans toi je n'ai rien à espérer du temps infini qui m'est donné.

Et je ne pourrais certainement pas continuer à vivre lorsqu'il ne sera plus à mes côté, ce sera trop dificile, je l'aimais trop.

- J'ai enfin trouvé un but à mon semblant de vie mon ange. Sans toi je n'ai rien à espérer du temps infini qui m'est donné.

Un sourire ce dessina sur mes lèvres malgré que ce que je pensais en ce moment même c'était que lui vivrais éternellement, mais pas moi. Je secouais la tête pour chassé cela de ma tête. Je passais devant lui et m'assoie sur ses genoux et passe mes bras autour de sou con et dépose ma tête sur son épaule.

- J'ai trouver un sens à ma vie dès que je t'es vue ce soir la...

Oui jusque la ma vie n'avais plu de sens depuis ma dernière année de lycée ou on avait arrêter de ce parlé. Mais c'était différent maintenant totalement différent. Heureusement car je crois que je me serais vraiment suicidé je n'aurais pas continué de vivre avec ce vide.

- Je t'aime tellement.

Je dépose un léger baiser dans son cou, je ferme les yeux profitant de ce moment le plus possible.

- J'ai trouver un sens à ma vie dès que je t'ai vu ce soir la...

Je souris et passai mes bras autour de sa taille pour le serrer un peu plus contre moi. Je soupirai doucement d'aise, qu'est-ce que j'aimais le tenir ainsi dans mes bras, j'avais l'impression d'avoir l'univers sous ma protection.

- Je t'aime tellement.

Mon sourire s'agrandit et je déposai un baiser sur le front de Kazuya.

- Moi aussi mon ange, soufflai-je tendrement.

Je laissai mes lèvres courir sur son visage pour le couvrir de baisers papillons. Oh oui je l'aimais tellement profondément quand c'est était indicible.

- Moi aussi mon ange, souffla-t-il tendrement.

Il déposa de léger baiser sur mon visage et je frissonnais de tout mon long. C'était comme un courant électrique à chaque baiser. On était plus fort en étant tout le deux que seul de son côté. Et ça tout le monde le comprendrais. Je redressais un peu la tête et capturais ses lèvres pour lui donnée un baisé des plus passionné et amoureux qui peut exister sur cette planète. Ma main glissa dans sa nuque a fin d'approfondir ce baisé.

Ma langue s'amusait avec la sienne et dansait avec elle sans grand problème. Des frissons me parcourait. L'amour était si beau avec lui et si magnifique. Je mit fin au baiser après un moment et nichais ma tête dans son cou et déposant de petit baiser sur sa peau glacé.

Il prit mes lèvres dans un baiser sulfureux et pourtant des plus empreints de sentiments, glissant une main sur ma nuque pour permettre à nos langues de se rejoindre. Ce qu'elles ne mirent pas longtemps à faire et elles s'entrelacèrent derechef. Je sentais Kazuya frissonner dans mes bras, alors que je frissonnai tout autant. Après quelques instants, il mit fin à ce splendide baiser et enfouis son visage dans mon cou. Je frémis à nouveau en sentant ses lèvres sur ma peau.
A croire qu'il devait toujours y avoir ce contact entre nous, si infime soit-il, ça ne l'empêchait pas d'être indispensable et puissant. L'une de mes mains remonta jusqu'à ses cheveux alors que l'autre caressait sa taille... l'effleurait à peine du moins.

Je frissonnais de plus belle en sentant ses caresses sur ma taille enfin ses effleurement. Ce n'était pas des caresses directe, mais ça avait quand même l'effet tout comme.

- Tu es si parfait, soufflais-je.

Il était plus que parfait. Il était le prince de compte de fée dont on peut toujours rêver. Mais encore la est-ce que c'était assez pour le décrire ? Jamais rien ne décrirais suffisamment Tomohisa pour dire ce qu'il était. Mais à mes yeux il était ce qu'il de plus parfait sur cette terre.

- La perfection c'est toi qui en a hérité.

C'est lui qui l'avait gagné c'est tout simplement ça.

- Tu es si parfait, souffla-t-il.

J'haussai les sourcils, stupéfait d'un tel compliment. Moi parfait? Ce n'était pas du tout l'impression que je me faisais. Au mieux, je pouvais me dire que j'étais parfait pour Kazu... et encore je n'étais pas certain que ce fut vrai.

- La perfection c'est toi qui en a hérité.

Un sourire se dessina sur mes lèvres.

- Si j'en étais capable, je crois que je rougirais, répondis-je, rieur.

Je préférais tourner ça à la dérision plutôt que de lui dire ce que j'en pensais sincèrement. Je n'étais pas parfait, qu'il l'admette ou non, je n'étais qu'un piège à humains ambulant. Tout ce à quoi servait mon être était d'attirer mes proies... ce qui ne servait que de jeu puisque même sans ça je pourrais aisément attraper n'importe quelle proie, aussi rapide fut-elle.

- Si j'en étais capable, je crois que je rougirais, répondit-il, rieur.

Bah c'est certain qu'il rougirait si, il le pouvait enfin toute être humain rougirait face à autant de compliment d'un cou. C'est pas comme si, j'avais l'habitude d'en faire des tas.

- Si je le pouvais j'irais te chercher la lune.

Voilà au lieu de le pensé autant que je lui dise. Je déposais un nouveau baiser sur sa peau, je redressais la tête et capturais ses lèvres une nouvelle fois, je me sentais énormément câlin ce matin ce qui n'était pas dans mes habitudes. Je mis fin au baiser après quelques minutes et fit un sourire à Tomohisa.

- Si je le pouvais j'irais te chercher la lune.

Mon sourire s'agrandit et il m'embrassa avant de me sourire à son tour. Je passai doucement mes doigts dans ses cheveux et ma main libre attrapa l'une des siennes et j'entrelaçai nos doigts. Je contemplai une énième fois la différence de notre peau. La sienne était douce, chaude et d'une jolie couleur pêche alors que la mienne était dure, froide et blanche. Mais, pour une raison qui m'échappa, je n'en fus pas choqué comme à mon habitude, j'y découvris autre chose.

- Comment deux êtres peuvent-ils être si complémentaire l'un de l'autre?

J'embrassai sa main avant de plonger mon regard dans le sien.

- Tu es tout ce que je ne suis pas... tu es maladroit pour deux, le taquinai-je. Et tu as su préserver notre amour quand je n'étais pas en mesure de l'apprécier... et tu l'as rendu plus fort... jusqu'à ce que je puisse en prendre soin à mon tour.

Même si je n'étais pas sûr de le mériter. Je lui souris tendrement, le couvai du regard comme s'il était la chose la plus précieuse au monde... non, il était la chose la plus précieuse au monde.

- Comment deux êtres peuvent-ils être si complémentaire l'un de l'autre?

Il embrasse doucement ma main juste ce petit geste me faisais vibrer de partout dans mon être. Je laissais un sourire apparaître sur mes lèvres.

- Tu es tout ce que je ne suis pas... tu es maladroit pour deux, me taquina-t-il. Et tu as su préserver notre amour quand je n'étais pas en mesure de l'apprécier... et tu l'as rendu plus fort... jusqu'à ce que je puisse en prendre soin à mon tour.

Ça j'aurais préféré ne pas y pensé en fait. que je suis maladroit, mais tout le reste était quelque chose de super à entendre surtout venant de lui. J'avais su préserver notre amour, car je savais qu'il était le seul pour moi et que personne ne pourrait l'égaler dans ce qu'il me faisais vivre. Notre relation était spécial tout comme le lien qui nous unissait.

- Jusqu'à maintenant tu en prends vraiment soins.

Il faisait plus que ça, il le faisait revivre énormément et il devenait toujours plus fort, même si je savais que au fond de sa personne, il s'en voulait encore pour ce qu'il m'avait fait moi, je l'avais totalement pardonner au fond de mon coeur.

- Je t'aime.

Je déposais un petit baiser sur ses lèvres et lui fit un petit sourire en coin. Il est tellement important pour moi. Que ferais-je si, il n'était pas la ?

- Jusqu'à maintenant tu en prends vraiment soin.

Je souris. Jamais je n'avais rien ressenti d'aussi beau, alors je devais en prendre soin comme Kazuya l'avait fait et continuait de le faire d'ailleurs.

- Je t'aime.

Il déposa un baiser sur mes lèvres et je souris en même temps que lui avant de l'embrasser à mon tour, le serrant un peu plus contre moi.

- Je t'aime, murmurai-je contre sa bouche. Je t'aime, je t'aime, je t'aime, je t'aime...

Je laissai ma langue caresser doucement ses lèvres avant de s'immiscer entre pour rejoindre la sienne.

- Je t'aime, murmura-t-il contre ma bouche. Je t'aime, je t'aime, je t'aime, je t'aime...

Sa langue vint caresser doucement mes lèvres puis s'immisça dans ma bouche pour rejoindre la mienne. Ma main libre se pose sur sa nuque une nouvelle fois à fin d'approfondir ce baiser et de le rendre encore plus passionné et remplie d'amour. Mes doigts caressèrent doucement sa nuque. Je mit fin au baiser.

- T'es un véritable amour.

Je déposais un baiser sur son front et déposais ma tête sur son épaule et me blottit tout contre lui.

Il approfondit mon baiser et je frissonnai en sentant ses doigts sur ma nuque. Il mit fin au baiser.

- T'es un véritable amour.

Je souris, il se blottit contre moi. J'appuyai ma tête contre la sienne et fermai les yeux. Je me concentrai sur les battements de son coeur, je les connaissais et je les auraient reconnus entre mille. Je le berçai doucement dans mes bras et soupirai d'aise.

Il me berçait doucement dans ses bras et je ne pu m'empêcher de sourire. Ma main se posa sur sa poitrine a fin que je sente les battements de son coeur. C'était tout simplement un vrai plaisir d'être dans ses bras d'être avec lui.

- J'aimerais que le temps s'arrête, murmurais-je.

C'est ce que je souhaitais au fond de mon cœur, mais cela ne ce produira probablement jamais. Je soupirais doucement, je devais absolument accepté le fait que je resterais pas jeune éternellement.

- J'aimerais que le temps s'arrête, murmura-t-il.

Mon sourire s'étrécit, je comprenais à quoi il faisait allusion. Je savais qu'il voulait devenir un vampire, qu'il voulait vivre éternellement... avec moi... au fond, je le souhaitais aussi, je voulais rester avec lui pour toujours, mais pas de cette façon. Certes c'était le seul moyen mais c'était impossible... pour moi.
Je soupirai silencieusement.

- Moi aussi mon ange.

Même si ce n'était pas de la même manière, c'était l'un de mes plus grands souhaits... grand et impossible, comme toujours.

- Moi aussi mon ange.

Je fermais les yeux, je savais pourtant qu'il ne voulait pas que j'ai une vie comme la sienne. Mais moi, je suis près à tout pour passé ma vie avec lui et ça, je crois qu'il n'en pas conscience. Mais j'allais pas lui dire tout simplement. De toute façon valait mieux que je pense à autre chose. Ma main ce posa sur sa joue et la caressait doucement.

- Je t'aime Yamapi.

Je l'avais pas appelez comme ça depuis le lycée. Il allait sûrement ce dire que je faisais de la fièvre, mais j'avais envie de le dire tout simplement.

- Je t'aime Yamapi.

Je fis un grand sourire. 'Yamapi' ça faisait longtemps que j'avais pas entendu ce surnom, et pour dire vrai ça me manquait... j'espérais tout de même qu'il n'allait pas me rendre nostalgique, c'était pas un sentiment que j'affectionnais tellement... pour l'avoir trop ressenti, oui je pense que c'est de là que ça vient.

- Voilà qui nous renvoie des années en arrière... mais j'adorais ce surnom ^^

Je déposai un baiser sur son front.

- Voilà qui nous renvoie des années en arrière... mais j'adorais ce surnom ^^

Je rie doucement en hochant la tête. Oui des années en arrière, mais cette dernière année de lycée avait été pour moi très spécial. Ma main caressa doucement son torse alors que je déposais un baiser sur la peau de son cou.

- En fait le premier truc que t'a dit en entrant dans notre classe c'est: "Appelez-moi Yamapi."

Je m'en souvenais comme si c'était hier en fait. C'était tellement drôle sur le coup et le professeur avait pas su comment réagir et regardais sa feuille comme pour trouvé l'erreur du nom.

- En fait le premier truc que t'as dit en entrant dans notre classe c'est: "Appelez-moi Yamapi."

J'éclatai de rire en me souvenant de cela. En fait, je crois que je l'avais oublié, et c'était encore trouble dans ma mémoire. C'était difficile de se rappeler des souvenirs humains. Certains m'avaient vraiment marqué, mais en général c'était sombre.
Cette phrase, je l'avais dite à chaque fois que j'arrivais dans une nouvelle école. Bon dieu, qu'est-ce que j'étais présomptueux tout de même.

- J'aimais bien me démarquer des autres. Je voulais que tout le monde sache à quel point j'étais sûr de moi, c'était plus amusant.

J'avais changé depuis cette époque, mais en bien sur certains aspects.