Repos avec de l'amour ? [Tomohisa]

- J'aimais bien me démarquer des autres. Je voulais que tout le monde sache à quel point j'étais sûr de moi, c'était plus amusant.

Je rie doucement et remonte ma main des ses cheveux que je caresse doucement, me souvenir de l'époque du lycée me fais un bien fou. Et c'était de bon souvenir pas tous, mais pour la plupart s'en était de fantastique surtout ceux en sa présence.

- Bah tu as réussi à te démarquer et attiré mon attention.

Et encore aujourd'hui il attirait toujours autant mon attention en vers sa personne. Ma main glissa sur sa joue que j'effleurais du bout des doigts et ma retourna sur son torse.

- En tout cas tu avais été remarquer cette journée la.

Je laissais un petit sourire ce dessiné sur mes lèvres.

- Bah tu as réussi à te démarquer et attirer mon attention.

Je souris. C'était sûrement de ça dont j'étais le plus fier. En tout cas maintenant. J'avais réussi à attirer l'attention d'un ange, tout le monde n'a pas cette chance. Et tous les anges n'étaient pas assez maso pour rester avec quelqu'un comme moi. Pas que je m'en plaigne, au contraire.

- En tout cas tu avais été remarquer cette journée-là.

Eh oui, comme je me le disais "c'est le premier jour, ou jamais". Je devais montrer ce que je valais dès mon arrivée, tant que les gens éprouvaient de la curiosité pour moi, je devais en profiter. Mais je me souviens encore très bien de l'impression que j'avais eu en voyant la classe.

- Mais moi je ne voyais que toi.

Il était si mignon, installé à sa place sans bouger.

- Mais moi je ne voyais que toi.

Je nichais ma tête dans son cou alors que je sentais mes joue rougir. Ne voir que moi n'importe quoi. Il y avait des tas de mec plus beau dans ma classe. Mais bon, je le crois, je dois le croire. Quand, je fus sur que ma timidité était passé, je reculais la tête pour le regardé et souriais doucement.

- À partir de ce moment la on a comprit qu'on était fait l'un pour l'autre. En fin moi je l'avais compris, mais toi ce fut un peu plus long.

Je ris doucement et ébouriffais doucement ses cheveux. C'était pas bien grave en fait quand on regarde ça. Au moins, maintenant nous étions réunis ensemble, mais si ça avait pris quelques années c'était pas grave.

- Puis après on est devenu inséparable. Je crois qu'au fond tu m'aimais inconsciemment.

Il cacha son visage, mais je le sentis rougir quand même. Son visage était plus chaud, ça ne trompait pas. Un sourire amusé se dessina sur mes lèvres, un peu après il se redressa pour me sourire.

- À partir de ce moment là on a comprit qu'on était fait l'un pour l'autre. Enfin moi je l'avais compris, mais toi ce fut un peu plus long.

Il rit et ébouriffa mes cheveux. Je retins un soupir, c'était ces moments que je n'aimais pas me remémorer, ceux où j'avais fait souffrir Kazuya. Et à ne pas me rendre compte de mes sentiments, j'avais failli le perdre.

- Puis après on est devenu inséparable. Je crois qu'au fond tu m'aimais inconsciemment.

Je souris faiblement. Oui je l'aimais, mais j'avais aimé un autre avant lui et il me hantait encore à cette époque. J'avais souffert et mon comportement n'avait pas changé pour que je puisse me protéger. Je n'y comprenais rien, je n'avais jamais su analyser mes sentiments, je passais à côté.

- Tu as raison. Mais j'étais trop bête pour l'accepter.

- Tu as raison. Mais j'étais trop bête pour l'accepter.

Qu'est-ce qu'il racontait ? Il était pas bête, je soupirais doucement et secouais la tête. J'ai l'impression qu'il ce dit que je devrais lui en vouloir pour ce que qu'il ma fait, mais ça m'est totalement impossible de lui en vouloir.

- Tu n'était pas bêtes, tu n'étais pas près c'est tout et je ne t'en veux pas. C'est des choses qui arrive.

Je déposais un baiser sur ses lèvres froide. Je savais qu'il m'aimait c'était l'important je crois. C'est tout ce qui comptait tout simplement.

- Et je ne t'en est jamais voulu réellement pour ça. Je t'aimais et au fond, je comprenais, mais je voulais pas l'accepter. Quand on est populaire on a toujours tout ce qu'on veut. Je crois que c'est ce qui m'a le plus frustré dans tout ça.

Je rie doucement. Je venais de lui dire que j'étais un égoïste à cette époque. Je me considérais comme égoïste oui.

- Et je ne t'en ai jamais voulu réellement pour ça. Je t'aimais et au fond, je comprenais, mais je voulais pas l'accepter. Quand on est populaire on a toujours tout ce qu'on veut. Je crois que c'est ce qui m'a le plus frustré dans tout ça.

Il rit doucement. 'Jamais voulu réellement'? Il avait quand même essayé de se suicider... je secouai la tête pour m'ôter ces pensées de mon esprit et je posai mes lèvres sur son front une seconde avant de plonger mon regard dans le sien.

- Que tu m'en veuilles ou pas n'est pas le problème. Je sais ce que je t'ai fait, et je me trouve abominable.

C'était encore plus abominable que ce que j'avais bien pu faire d'autre. Aussi absurde que ce soit, je me pardonnerais les meurtres certainement bien plus facilement que ce que j'avais fait à Kazuya.

- Que tu m'en veuilles ou pas n'est pas le problème. Je sais ce que je t'ai fait, et je me trouve abominable.

Je le regardais droit dans les yeux. Comment pouvait-il dire une chose pareil ? Il n'est pas abominable, il ne pouvait pas accepté mes sentiments c'était pas sa faute. On y pouvait rien quand même, il allait pas vraiment ce mette à s'en vouloir pour cela ? C'était pas sa faute.

- Mais dit pas ça. Tu n'es pas abominable et j'avais mes problèmes aussi alors ne t'en veux pas.

Je déposais un baiser au coin de ses lèvres. Je ne voulais pas qu'il pense qu'il était abominable car ce n'était pas le cas. Je voulais pas que lui s'en veule pour ce qui m'avais fait. Il n'avait pas à s'en vouloir.

- Mais dis pas ça. Tu n'es pas abominable et j'avais mes problèmes aussi alors ne t'en veux pas.

Ses lèvres se posèrent au coin des miennes. Je n'avais pas espéré qu'il se dise que j'avais raison sur ce coup-là. Je savais qu'il ne voudrait pas me blâmer, il ne le ferait sans doute jamais, en tout cas pas pour ça. Mais j'avais ma façon de voir les choses, la sienne était différente. C'était un sujet sur lequel nous ne serions jamais d'accord. Honnêtement, je préférais qu'il me dise que j'étais qu'un connard et un salaud. ça me ferait peut-être mal, mais je le méritais amplement.
Je souris faiblement et l'embrassai doucement. Il valait mieux clore ce sujet, il ne nous mènerait nul part, si ce n'était à vouloir prendre les torts sur nous.

Je répondis à son baiser tout aussi doucement que lui, mais j'y rajoutais de la passion et de la tendresse. Ma main caressa doucement sa joue froide, je me blottit un peu plus contre lui en même temps. Mon autre main se déposa sur sa taille après avoir lâcher sa main. Je la caressais doucement du bout des doigts. Ma main glissa doucement son chandail et mes doigts effleurèrent sa peau glacé. Je mit fin au baiser et ainsi qu'au caresse du même coup.

- Je t'aime, dis-je en me reculant.

Je me levais et ouvrit l'armoire et me sorti un verre, je me dirigeais vers le frigo et attrapais la dernière canette de sprite. Je la vidais dans le verre et en pris une petite gorgé et le tendis vers Tomohisa.

- On va devoir partagé. Ça t'embête pas j'espère.

Je lui fis un petit sourire en coin.

Je frissonnai en sentant ses doigts chauds sur ma peau. Je réprimais un grognement lorsqu'il mit fin au baiser et à ses caresses.

- Je t'aime, dit-il en se reculant.
- Je t'aime aussi.

Il se leva et alla vers le frigo, je le regardai vider une canette de sprite dans un verre. Il but une gorgée et me tendit le verre.

- On va devoir partager. Ça t'embête pas j'espère.

Il fit un sourire en coin que je lui rendis en prenant le verre.

- Comme si à mon âge j'avais peur des baisers indirects.

'Mon âge'... hum, expression à ne plus utiliser à l'avenir étant donné que je resterais toujours bloqué à 18 ans. Je pris une gorgée du sprite et soupirai en sentant le gout dans ma bouche.

- Comme si à mon âge j'avais peur des baisers indirects.

Je ris nerveusement et m'assoit sur la table juste en face de lui. Bon, je dois pas m'éterniser sur sa dernière réplique c'était mal à droit c'est tout. Et puis bon, il fallait que j'accepte cette réalité qui était dur à accepter en fait. J'attrapais le verre dans sa main et en pris une mini gorgé.

- T'a peut-être pas peur des baisé indirecte, mais je me souviens qu'au lycée les prof n'aimait pas qu'on fasse ça. "Et si il avait une maladie et bla bla".

Je rie doucement en repensant à nos prof qui nous répètait toujours la même chose. Qu'est-ce que ça pouvait bien leur faire de toute façon. On allait mourir un jour ou l'autre de toute façon donc bon.

- Donc maintenant toi t'es immunisé alors, il n'y a plu de problème.

Et je crois pas qu'il va me refilé une maladie de toute façon. Un vampire doit même pas avoir de cellule de maladie dans son corps.

- T'as peut-être pas peur des baisers indirects, mais je me souviens qu'au lycée les prof n'aimait pas qu'on fasse ça. "Et si il avait une maladie et bla bla".

Ah ouais c'est vrai. Qu'est-ce qu'ils étaient bêtes tout de même. Nan mais genre on avait la gale. C'était pas comme si on vivait dans des maisons insalubres et qu'on prenait pas soins de nous. Mais bon, il fallait pas chercher.

- Donc maintenant toi t'es immunisé alors, il n'y a plu de problème.

Je souris.

- Nan, plus rien de ce genre ne peut m'atteindre.

Ce serait quand même stupide qu'on soit superfort, pratiquement invincible, agiles, mais qu'à la moindre grippe on se retrouve au pieu avec 38° de fièvre...

- Nan, plus rien de ce genre ne peut m'atteindre.

Je laissais un petit sourire s'afficher sur mes lèvres. Effectivement plus que ça allait et plus je voyais les avantages à être comme lui. Et c'est la que je voyais encore plus pourquoi, je voulais devenir comme lui. Je fermais les yeux et secoua la tête, il fallait pas que je pense à ça.

- Bon bah au moins quand moi, je serais malade et que je voudrais des câlins tu pourras pas refusé comme quand on était au lycée u_u.

Il venait me tenir compagnie chez moi, mais pas de câlins ni de bisous. C'était vraiment de l'injustice mais bon, je comprends qu'il avait peur de chopé ce que j'avais à l'époque.

- Bon bah au moins quand moi, je serais malade et que je voudrais des câlins tu pourras pas refuser comme quand on était au lycée u_u.

Je ris doucement. C'était vrai qu'au lycée je restais avec lui mais je gardais une distance, ç'aurait été bête que je tombe malade moi aussi. Un seul suffisait bien après tout.

- Oui, enfin à condition que je ne te glace pas.

S'il était frigorifié, pas besoin de le congeler totalement. Mais quand il aurait de la fièvre c'était certain que je serais plus utile qu'un vulgaire torchon plein de glace. Je tendis le bras pour reprendre le verre de Sprite et le portai à mes lèvres afin d'en prendre une gorgée.

- Oui, enfin à condition que je ne te glace pas.

T_T ça serait bien ma chance ça. Quoi que ça pourrait vraiment arrivé, je crois que je pleurais. Moi quand, je suis malade, je veux des câlins et des bisous. Ça m'encourage plus.

- Je m'emmitouflerais dans une couverture comme ça tu pourras me faire des câlins pareil.

Je pense à tout enfin quand, je sais réfléchir comme, il faut cela était assez rare, mais ça m'arrivait parfois.

- Et tu pourras pas refusé.

- Je m'emmitouflerais dans une couverture comme ça tu pourras me faire des câlins pareil.

Un petit rire échappa de ma bouche. J'aurais du me douter qu'il trouverait quelque chose à redire à mes paroles.

- Et tu pourras pas refuser.

Je secouai la tête en souriant.

- Comme si je pouvais te refuser quoique ce soit...

Surtout que j'aimais l'avoir dans mes bras tout autant qu'il aimait s'y trouver. Tant que ça ne risquait pas de lui faire de mal, je ne pouvais rien lui refuser.

- Comme si je pouvais te refuser quoique ce soit...

Je rie doucement et attrapais son visage entre mes mains et approchais mon visage du siens et capturais doucement ses lèvres. Heureusement pour moi, il était pas trop éloigner de la table sinon, je suis sur que je serais étalé sur le carrelage en ce moment même. Je rompis le baisé et me replaçais comme, il faut.

- T'es magnifique.

J'avais murmuré. mais ça il le savait déjà qu'il était magnifique. Je débarquais de la table et parti au salon, j'attrapais un cd de musique et le mit dans le lecteur cd. Et je mit du volume a fin qu'elle soit en fond. Je retournais dans la cuisine prit place sur ses jambes une nouvelle fois.

Il prit mon visage entre ses mains et m'embrassa. Je répondis à son baiser mais il y mit fin peu après avant de se rasseoir.

- T'es magnifique.

Je souris et le suivis du regard alors qu'il s'éloignait vers le salon. J'haussai les sourcils en l'entendant brasser des boitiers puis de la musique se fit entendre. Et il revint, s'asseyant à nouveau sur mes jambes. Je nouai mes bras autour de sa taille et enfouis mon visage dans son cou. J'inspirai doucement son parfum et déposai quelques baisers sur sa peau. Je fermai les yeux, et me mis à fredonner l'air de la musique.

Je fermais les yeux profitant de ce moment tout simplement, il fredonnait la musique qui jouait. Il faut dire que j'avais mit un cd que j'écoutais au lycée. Côté musique j'étais resté vieillot, j'en écoutais pas assez pour me tenir à la mode dans ce côté la. J'appuyais ma tête contre la sienne. Ma main se posa sur sa taille et je caressais doucement celle-ci comme tout à l'heure.

- Chaque moment avec toi sont purement magique.

C'était digne d'un compte de fée tout simplement c'était certain. Mais en même temps en ayant un petit ami vampire c'était comme dans un compte de fée. Personne ne croit à ce genre de chose, mais pourtant il existe.

- Chaque moment avec toi est purement magique.

Dans un sens, il y avait de quoi l'être. Même sans être totalement de la magie, c'était ce qui s'en approchait le plus.

- Sans toi ils ne le seraient pas mon ange, murmurai-je.

Je le serrai un peu plus contre moi et déposai un autre baiser dans son cou avant de me redresser pour le regarder dans les yeux en souriant. Tous ces instants étaient si sublimes grâce à sa présence, sans lui rien ne serait pareil, rien ne serait supportable sans lui avec moi.

- Sans toi ils ne le seraient pas mon ange, murmura-t-il.

Il déposa un baiser dans mon cou et je frissonnais, il releva la tête pour me regarder et je vis son sourire sur ses lèvres. Je souris moi aussi. Juste voir un sourire sur ses lèvres m'était suffisant pour me rendre heureux et me faire sourire. Et tout était loin derrière.

- Oh Tomohisa, murmurais-je.

Je me blottissait tout contre lui et nichais ma tête dans son cou. Comment quelqu'un comme moi pouvait mérité un tel amour ? Je me le demandais encore et encore, mais pourtant, je ne devrais pas. Je devais seulement en profiter c'est tout. Une larme roula sur ma joue une larme de joie.

- Oh Tomohisa, murmura-t-il.

J'arquai un sourcil alors qu'il nichait sa tête dans mon cou et je sentis une larme sur ma peau. Je remontai l'une de mes mains sur sa joue et essuyai la trace de la larme.

- Tu pleures Kazu?

J'étais un peu perplexe je dois dire. Je déposai un baiser sur sa tempe alors que mon doigt caressait doucement sa joue. Je ne voulais pas qu'il pleure moi, même si ce n'était pas une larme de tristesse, ça restait une larme.

- Tu pleures Kazu?

C'était évident qu'il s'en rendrait compte. J'étais trop émotif, je me rendais seulement compte de la chance que j'avais c'est tout. Je soupirais doucement et reculais la tête pour le regardé essuyant les larmes au coin de mes yeux. J'étais vraiment trop émotif moi.

- Je suis juste émotif.

Je baissais la tête un moment. Je soupirais doucement et relevais la tête.

- Je me rends seulement compte à quel point j'ai de la chance. J'ai ce que tout le monde peut rêver d'avoir.

Et ça me rendait heureux au point de faire coulé mes larmes, une secondes larmes roula sur ma joue.

- Je suis juste émotif.

Un petit sourire se dessina sur mes lèvres. Oui c'était le mot juste. C'était quelque chose que je ne devrais pas oublier, sinon je risquais d'être surpris plus d'une fois par ses larmes.

- Je me rends seulement compte à quel point j'ai de la chance. J'ai ce que tout le monde peut rêver d'avoir.

Un petit-ami vampire était sûrement pas ce que tout le monde voudrait par contre ce que nous vivions tous les deux étaient sûrement à envier. Une autre larme roula sur sa joue, je posai mes lèvres dessus.

- Je t'aime mon ange.

Je lui souris tendrement.

- Je t'aime mon ange.

Je lui rendis son sourire avec autant de tendresse. Je déposais mes lèvres sur les siennes et approfondis ce baiser assez rapidement. Ma main sur sa taille se remit à la caresser une nouvelle fois.

- Je t'aime, soufflais-je.

Ses mots étaient pourtant si faible pour dire à quel point, je l'aimais je donnerais ma vie pour lui. Je dirais a dieu à mon côté humain pour lui. Je mit fin au baiser et déposais ma tête sur son épaule. Ma main libre caressa une nouvelle fois sa joue.