Se retrouver [PV Kazuya]

Il baissa la tête et je vis ses joues rougir... ou peut-être étais-ce surtout l'afflux de sang que je sentis... bref. Ses lèvres chaudes se posèrent sur ma peau et il mordilla ma peau. Je frémis, voilà quel avait toujours été mon point faible... ironique n'est-ce pas? ><

- Je suis content que tu sois réapparu dans ma vie.

Ses paroles me firent chaud au coeur. J'étais vraiment plus heureux que ça ne m'était jamais arrivé, et pourtant je ne pensais pas pouvoir être heureux à nouveau.

- Moi aussi, si tu savais.
- Je t'aime.

Je glissai une main sous son menton et relevai son visage vers moi. Je déposai un baiser sur son front.

- Je t'aime aussi... je t'aime tellement, soufflai-je en posant mes lèvres sur les siennes.

Je laissai ma langue aller caresser ses lèvres pour leur demander l'accès à sa bouche, à sa langue.

- Je t'aime aussi... je t'aime tellement, souffla-t-il en posant ses lèvres sur les miennes.

Je réponds automatique a son baiser l'autorisant a poursuivre ce magnifique échange. Ma langue va vite rejoindre la sienne et s'entrelace lentement comme si, il y avait des années qu'elle ne s'était pas vue. Mais c'était à peu près ça en fait. Je mettais tout la délicatesse dans ce baiser. J'y mit fin a bout de souffle.

- Alalala ce genre de baiser me rend fièvreu, dis-je lentement.

Je déposais l'une de mes mains sur son torse et le caressais doucement par dessus le fin tissus du t-shirt. Il n'y avait rien de mal la dedans ne ? J'étais sage quand même la. Je faisais vraiment rien de mal.

- Tu embrasse toujours aussi bien que dans mes souvenir, murmurais-je.

Je fermais les yeux et déposais ma tête sur son épaule. Je suis si bien la. Je veux pas bougé de la moi.

(mais non y a rien de mal Kazu, vu les pec' qu'il a moi aussi je voudrais caresser son torse mouahahahaha!! gomen je m'emporte... *sors*)

Il mit fin à ce délicieux baiser, à bout de souffle.

- Alalala ce genre de baiser me rend fièvreux.

Un sourire amusé prit place sur mes lèvres, je devais bien avoué que ça me faisait le même effet, mais qu'est-ce que j'aimais ça. Sa main se posa sur mon torse et commença à le caresser doucement, je sentis un léger feu s'allumer en moi. (quoi!? ><)

- Tu embrasse toujours aussi bien que dans mes souvenirs.

Il reposa sa tête sur mon épaule en fermant les yeux. Hum, j'embrassais toujours aussi bien? Pourtant cela faisait des années que je n'avais pas embrassé quelqu'un.

- Merci. Je te retourne le compliment, dis-je en souriant.

J'appuyai ma tête contre la sienne et fermai les yeux à mon tour. Je laissai l'une de mes mains dériver dans son dos, montant descendant le long de sa colonne vertébrale.

- Merci. Je te retourne le compliment, dit-il.

Je laissais un petit sourire ce dessiné sur mes lèvres. J'ai vraiment, mais vraiment jamais été aussi bien depuis toute ses années passé loin de lui et des autres. Je sentis sa tête sur la mienne. Je ne pus que sourire une nouvelle fois. Je sentis sa main dans mon dos qui descendais et remontait le long de ma colonne. Je frémis de tout mon long.

- Hmm, soupirais-je inconsciemment

Il connaissait tout mes points faible et même si, il les connaissait pas, je crois qu'il me ferait quand même frissonner malgré tout. Et je ne frissonne pas du froid de ses mains, mais vraiment à cause de la caresse.

- C'est pas bien faire ça tu sais. Ce sont mes points faible.

Je continuais a caresser doucement son torse, j'ouvris un peu les yeux.

Je le sentis frémir sous mes doigts.

- Hmm, soupira-t-il.

Je souris, j'étais content de voir que j'arrivais toujours aussi bien à le faire frissonner, je connais son corps sur le bout des doigts (oh le sous-entendu xD), comme il connait le mien... maintenant il ne me reste plus qu'à apprendre son coeur.

- C'est pas bien faire ça tu sais. Ce sont mes points faibles.

Je ris doucement et ralentis les mouvements de ma main, n'effleurant que légèrement son dos.

- Oh ce n'est pas bien? Alors il faut que j'arrête? demandai-je malicieusement.

Je ne le touchais presque plus. Je me rappelai que c'était ainsi que je jouais quand j'étais humain, mais maintenant c'était différent, mes gestes étaient plus tendres, et là je m'amusais, je le taquinais, alors qu'avant je faisais cela car je savais que j'obtiendrais ce que je voulais.

- Oh ce n'est pas bien? Alors il faut que j'arrête? demanda-t-il malicieusement.

Je secouais la tête, mais nah je voulais pas qu'il arrête quand même. Quand on commence quelque chose on ne laisse pas ça comme ça. Et de plus avec tout les frissons qui me parcours en ce moment même, je ne peux qu'apprécier c'est geste, il y a longtemps que j'avais pas ressentit cela face a des caresses.

- N'arrête pas baka. J'aime quand tu me touche, dis-je doucement.

Cela sonnait plutôt étrange comme phrase. Enfin, je m'en fou, il me traitera de pervers si, il veut car, je sais que c'est pas moi le pervers. Je dépose tranquillement des baiser dans son cou, suçotant doucement sa peau. Je la mords tout doucement et m'arrête dans mon geste.

- Peut-être devrais-je me refroidir, murmurais-je.

J'espérais qu'il n'aurait rien entendu.

Il secoua la tête, ce qui me fit sourire.

- N'arrête pas baka. J'aime quand tu me touche.

Je retins un rire. Je savais bien qu'avec lui, il ne pouvait rien avoir d'ambigüe dans cette phrase, il ne disait pas ce genre de chose si directement, mais tout de même... en sentant ses lèvres s'en prendre à mon cou je ne pus m'empêcher de frissonner et de soupirer. Cependant il s'arrêta brusquement.

- Peut-être devrais-je me refroidir, murmura-t-il.

Je ne répliquai rien, mais ma main cessa de bouger dans son dos. Il avait dit ça pour lui, mais j'étais forcé de l'entendre, j'entendais tout. Je décidai alors que je devrais me calmer aussi, il avait peut-être peur d'aller plus loin avec moi, ce que je comprenais d'ailleurs. Moi-même j'avais peur de laisser des traces sur sa peau laiteuse, j'avais peur de ne pas réussir à contrôler ma force et de lui faire mal.
Je soupirai doucement en reprenant des caresses plus chastes dans son dos toujours pour qu'il ne s'aperçoive pas que j'ai entendu sa remarque.

Je basculais la tête vers l'arrière légèrement. Ses caresses n'avait pas cessé dans mon dos, mais elle était beaucoup plus sage que tout à l'heure. J'allais pas m'en plaindre. En fait, je ne sais pas si on pouvait allez si loin sans qu'il ce passe quoi que ce soit. Je devais quand même faire attention et j'avais promis de ne rien faire a fin qu'il me fasse du mal. Je ne connaissais pas les limites que je devais respecté et lui non plus.

- Tu sais Tomo-Chan...

Je fermais les yeux et réfléchissais a ce que j'allais dire et à comment le dire surtout. Car je devais pas dire ça de travers après tout. Et seul lui pourrait me dire les limites pour qu'il n'arrive rien.

- Si tu veux imposé des limites faudrait que je les sâche. J'ai promis de ne rien faire qui pourrait me blessé et te blessé...

J'ouvre les yeux et le regarde.

- Donc pour savoir comme ça si, il y a des choses que je peux pas faire dit les moi.

Comme ça on serais fixé lui et moi et je saurais ou m'arrêtez en fait.

Il bascula la tête en arrière, je le regardai, attendant qu'il dise quelque chose.

- Tu sais Tomo-Chan...

Il ferma les yeux, j'inclinai légèrement la tête sur le côté. Qu'avait-il en tête? Cette fois-ci je n'arrivais pas à le ressentir.

- Si tu veux imposer des limites faudrait que je les sache. J'ai promis de ne rien faire qui pourrait me blesser et te blesser...

Il me regarda mais je détournai les yeux. Je ne savais pas quoi lui répondre.

- Donc pour savoir comme ça si, il y a des choses que je peux pas faire dit les moi.

Je soupirai et fermai les yeux alors que mon visage prenait une expression attristée.

- Je n'en sais rien, à vrai dire... Je suis encore un vampire trop jeune, je ne sais pas quelles sont mes capacités... mon... hum... 'sensei'... n'a pas su me dire exactement ce que je risquais pour n'importe quel cas de figure...

Le vampire qui m'avait mordu était différent de mon 'sensei' alors il ne connaissait pas ce dont il était capable, il ne pouvait alors pas dire ce dont je serais moi-même capable. Je soupirai et relevai la tête vers lui, le regardant dans les yeux.

- Mais je sais que je pourrais te briser d'une simple étreinte... si tu savais à quel point cela me terrorise...

S'il mourrait par ma faute, cela me détruirait, c'était certain... je ne voulais pas le tuer dans un geste d'amour... De plus, son odeur est si enivrante... il vaudrait mieux que je m'y habitue avant de faire quoi que ce soit.

- Je n'en sais rien, à vrai dire... Je suis encore un vampire trop jeune, je ne sais pas quelles sont mes capacités... mon... hum... 'sensei'... n'a pas su me dire exactement ce que je risquais pour n'importe quel cas de figure...

Je posais ma main sur sa joue et la caressait délicatement. Nous n'étions donc pas avancer si même lui l'ignorait. Alors on devrait les découvrir nous même en faisant très attention. Sinon on risquait quand même de faire des bêtises.

- Mais je sais que je pourrais te briser d'une simple étreinte... si tu savais à quel point cela me terrorise...

Je plongeais mon regard dans le sien et la peur s'y lisait. On devrais être fort tout les deux et faire extrêmement attention ça c'était clair. Mais j'avais confiance en lui véritablement confiance en lui.

- Soyons prudent et vigilant, dis-je en faisant un petit sourire.

Je déposais un baiser sur ses lèvres. Je voulais le rassuré en même temps, mais j'étais pas sur que cela fonctionne de toute façon.

- Au fur et a mesure on se rendra bien compte des limites qu'on doit respecter pour notre bien être même si cela pourra être difficile. Je veux être avec toi c'est tout.

Je me voulais rassurant, mais est-ce que cela fonctionnerais ? J'en doutais un peu au fond. Mais je pouvais toujours espérer ne ?

- Soyons prudent et vigilant, dit-il en souriant.

Il déposa un baiser sur mes lèvres. Je savais qu'il voulait me rassurer, c'était après tout ça façon à lui de me protéger.

- Au fur et a mesure on se rendra bien compte des limites qu'on doit respecter pour notre bien-être même si cela pourra être difficile. Je veux être avec toi c'est tout.

Je hochai doucement la tête, en esquissant un faible sourire. Il avait raison, nous devions laisser le temps faire son oeuvre, c'était la seule et unique façon de savoir ce que nous risquiions sans nous mettre en péril.
Je serrai à nouveau Kazu contre moi, nichant mon visage dans son cou.

- Je veux aussi être près de toi...

C'était tout ce dont je devais me soucier, c'était ça l'important maintenant. Tant que nous étions tous les deux, tout irait bien.

- Je veux aussi être près de toi...

Je répondis à cette étreinte sans mal. Le fait d'entendre ses paroles me faisait beaucoup de bien dans mon être intérieur. Pas besoin d'y avoir de raison. Mais c'était rassurant d'entendre cela. Je déposais un baiser sur ses cheveux.

- Et je te fais confiance, murmurais-je doucement.

Même si j'avais peur et que je ne voulais pas le montré, je devais vraiment faire attention et je devais avoir confiance en lui malgré tout ce qui pourrait ce produire. Je caressais doucement son dos.

- A deux nous y arriverons. On réussira.

Je voulais m'en persuader moi aussi. J'avais pas besoin de me rassuré moi même face a la situation.

- Et je te fais confiance, murmura-t-il.

Ces mots-là avaient vraiment un effet que personne ne pouvait imaginer. J'avais vraiment besoin d'entendre cela, car s'il n'avait pas confiance en moi, c'était certain que nous n'aurions aucun avenir ensemble. Ceci dit, je ne savais pas vraiment quel avenir pourrait bien s'épanouir pour nous.

- A deux nous y arriverons. On réussira.

Oui, il fallait y croire, il n'y avait pas de raison pour que nous n'y arrivions pas. Je me redressai pour le regarder dans les yeux, et un sourire se dessina sur mes lèvres.

- Tu as raison, Kazu.

Je déposai un baiser sur ses lèvres et le serrai à nouveau contre moi en fermant les yeux. Qu'est-ce que j'aurais aimé, l'espace d'un instant, avoir le pouvoir de mon sensei pour voir comment évolueraient les choses, savoir si nous serions heureux ou si, par mégarde, j'avais fait un erreur fatale.

- Tu as raison, Kazu.

Je fus content d'entendre ses paroles. Si, il y croyait lui aussi nous pouvions que nous en sortir et y arriver. Sinon c'est clair que nous irons pas loin tout le deux. Mais je sais que si on s'y met tout les deux tout est possible­. Il y a que la force qui peut nous aidez face a toute situation.

- J'ai toujours raison.

J'éclate de rire, je voulais détendre l'atmosphère après l'avoir tendu quelque peu dans la pièce. Je ne sais pas si ça fonctionnerait si oui c'était tant mieux sinon tant pis comme on dit, j'aurais au moins essayer. J'appuyais ma tête contre son épaule et me collais tout contre lui. Je respirais son odeur. Je sentais sa froideur, mais elle ne me gênait pas.

- J'ai toujours raison.

Il éclata de rire, je fis de même. Je préférais tellement une ambiance comme celle-ci. Nous ne devions pas penser aux problèmes, ils ne devaient pas nous empêcher de vivre après tout... alors pourquoi s'entêter?
Je me calmai doucement en sentant sa tête se poser sur mon épaule en même temps qu'il se serrait un peu plus contre moi. Je caressai ses cheveux.

- J'avais presque oublié que ton deuxième prénom c'était modeste, ironisai-je.

Je ris à nouveau et me retins de ne pas augmenter la pression de mes bras sur son corps, il valait mieux qu'il se blottisse dans mes bras, au moins je ne risquais pas de l'écraser. Mais je ne devais pas y penser, il n'arriverait rien de toute façon.

- J'avais presque oublié que ton deuxième prénom c'était modeste, ironisa-t-il.

Je joins mon rire au sien. J'avais au moins réussi a redonner une bonne ambiance a cette soirée qui pour l'instant allait un peu mal faut dire. Enfin, j'avais cassé l'ambiance pour mieux la remettre en fait. J'étais content.

- Ça te rappelle pas que j'étais toujours comme ça au lycée ?

Je fis un petit sourire. Même si j'étais populaire au lycée, j'étais assez modeste à l'époque, mais je travaillais fortement pour corriger ça depuis que j'avais quitté l'école. Au moins comme ça je serais peut-être moins modeste.

- C'était assez spécial le lycée je dois dire enfin ce fut une chose bizarre dans ma vie.

Personne ne savait qu'au collège j'étais la riser des gens. Alors être populaire au lycée avait été un changement pour moi.

- Ça te rappelle pas que j'étais toujours comme ça au lycée ?

Je souris. Mon Dieu le lycée j'ai l'impression que c'est à des lustres derrière moi. J'y pense rarement à vrai dire... enfin j'y pensais rarement avant de revoir Kazu et Ryo.

- C'était assez spécial le lycée je dois dire enfin ce fut une chose bizarre dans ma vie.

Bizarre? Le lycée?

- Ah oui? Comment ça?

Autant demander après tout, cela fera la conversation, c'était mieux que de penser à tout et n'importe quoi. Moi, personnellement le lycée n'avait pas été différent du collège, au détail près que je ne me contentais plus d'embrasser mes conquêtes. Mais j'étais populaire et comme à chaque année je changeai de ville, je redevenais à chaque fois le centre des conversations et de la curiosité.

- Ah oui? Comment ça?

Je regarde Tomohisa avec un sourire perché au coin de mes lèvres. Je n'avais aucune raison qu'il s'efface en fait.

- Ce fut une expérience agréable.

Ca avait été la plus belle expérience de ma vie en fait. La popularité le respect des amis. Je fermais les yeux repensant a tout cela.

- En fait au collège j'étais le souffre douleur de tout le monde. Et rendu au lycée j'étais populaire et tout le monde voulait être ami avec moi.

C'était un assez gros changement quand même. Pourtant au collège j'étais moi même au lycée aussi, mais je me la jouais un peu plus par moment.

- La vie est étrange des fois.

Je fais un petit sourire et ferme les yeux.

Il me regarda, son beau sourire posé sur ses lèvres.

- Ce fut une expérience agréable.

Cela me rassura, il gardait des bons souvenirs du lycée malgré tout.

- En fait au collège j'étais le souffre douleur de tout le monde. Et rendu au lycée j'étais populaire et tout le monde voulait être ami avec moi.

Lui? Le souffre-douleur de tout le monde? J'avais du mal à imaginer ça... c'était quelque chose que je ne savais pas malgré le temps que nous avions passé ensemble au lycée.

- La vie est étrange des fois.

Il sourit et ferma les yeux. Oui, étrange c'était le moins qu'on puisse dire... et ça ne faisait sûrement que commencer, mais bon.

- Oui, et les mentalités évoluent... mais c'est partout pareil, moi comme j'ai fait que passer d'un établissement à un autre, ça a été plus simple...

Je me fichais de ce qu'on pouvait penser de moi, c'était pour ça qu'au collège on me trouvait cool et que personne ne venait me chercher des noises... mais c'était bien comme ça.

- Oui, et les mentalités évoluent... mais c'est partout pareil, moi comme j'ai fait que passer d'un établissement à un autre, ça a été plus simple...

Je rouvre les yeux et le regarde. Je hoche la tête à ses paroles. C'est vrai que ce fut simple comme ça. Mais au fond est-ce qu'il aimait vraiment ça changé toujours d'école ? Toujours devoir recommencer pour ce faire des amis.

- J'aurais bien aimé que au collège ce soit comme ça moi. Que je change toujours d'école.

J'avais souffert au collège, mais ça personne ne pouvait comprendre. Surtout si, il était populaire depuis toujours. Mais bon ça j'en voulais pas à personne. J'avais au moins eu la chance de connaître le lycée et de vivre une expérience heureuse.

- Et je me souviens qu'au lycée dans une classe j'ai vue des mecs de mon ancien collège et il semblait choquer de voir que j'étais populaire.

Je rie doucement en repensent à cela. Comme si ça m'aurait été interdit de connaitre cela.

- J'aurais bien aimé que au collège ce soit comme ça moi. Que je change toujours d'école.

Oui, j'imaginais bien que ça ne devait pas être simple, s'il avait été dans un collège différent à chaque fois il aurait sans doute moins souffert... d'un autre côté, ça aurait aussi pu être pire.

- Et je me souviens qu'au lycée dans une classe j'ai vu des mecs de mon ancien collège et ils semblaient choqués de voir que j'étais populaire.

Je ris avec lui.

- Ils devaient se sentir stupide de n'être plus rien alors que toi tu attirais les foules.

Je lui fis un petit sourire en coin. Nul doute qu'il a du en rendre plus d'un jaloux, et c'est souvent comme ça de toute façon, les petites frappes du collège deviennent des gros lourds ou des abrutis au lycée.

- Ils devaient se sentir stupide de n'être plus rien alors que toi tu attirais les foules.

Je ris une nouvelle fois me rappelant cette belle époque de ma vie qui avait arrêter après la remise des diplôme. Et oui toute a une fin en fait. Je dépose un baiser au coin de ses lèvres.

- Maintenant, je suis quelqu'un parmi tant d'autre sans importance.

La vie avait fait que je sois oublié maintenant. J'avais pu trop contact avec des gens du lycée faut dire. Je me tenais tranquille ou plutôt c'est moi qui voulait pas donné de mes nouvelles. Je suis assez bizarre quand je veux.

- Tout ça était bien beau on était gamin après tout. Au collège les gens ne savent pas ce qu'ils font.

J'avais survécu au collège alors je pouvais encore sûrement en prendre maintenant. Ca me prouvait que j'étais fait assez solide quand même.

- Maintenant, je suis quelqu'un parmi tant d'autre sans importance.

Je haussai les sourcils. Jamais il ne serait quelqu'un parmi tant d'autre. Il était sublime, j'étais certain que beaucoup, homme comme femme d'ailleurs, devait se retourner sur son passage pour l'admirer. Et il dégageait quelque chose de si innocent au fond...

- Tout ça était bien beau on était gamin après tout. Au collège les gens ne savent pas ce qu'ils font.

Je secouai la tête.

- Non c'est certain, mais à ce moment-là, on s'en fiche et on profite...

On n'avait cessé de me repéter que si je n'étudiais pas à l'école jamais je ne ferais quelque chose de ma vie, et mon père me disait même que je mourrais comme un misérable. Au final, c'était lui qui était mort comme un misérable et j'avais hérité de la fortune de ma famille, je n'aurais pas besoin de travailler... et je savais que de toute façon mon sensei serait là s'il y avait quoique ce soit.
Mon père... avouerai-je un jour à Kazu que j'ai assassiné mon propre père?

- Non c'est certain, mais à ce moment-là, on s'en fiche et on profite...

Je hochais la tête. Oui fallait profiter de ce qu'on avait a vivre après tout. La vie était la pour ça. Si on la vivait ce n'était pas pour rien. Déjà juste être la avec lui était une chance incroyable à mes yeux. Mais ça c'était ma façon de voir les choses.

- Des fois, je remarque que j'attire l'attention du monde pas tout le monde, mais certaine personne.

Surtout depuis que j'étais ici, je m'attirais des ennuie ou sinon des avance plutôt assez perverse qui m'intéresse guère.

- Je me demande si j'ai l'air d'un petit puceau innocent quoi.

Je soupire et secoue doucement la tête. Comment puis-je dire une tel chose et de cette manière d'ailleurs ? Je suis pourtant si réservé habituellement. Enfin pas trop non plus.

- Des fois, je remarque que j'attire l'attention du monde pas tout le monde, mais certaine personne.

Ah je le savais bien ^^ mais bon je devais faire attention à ce que personne n'essaye de me le piquer. Bien sûr, j'avais confiance en lui mais on ne savait jamais ce que les gens pouvaient faire pour obtenir ce qu'ils désiraient. Ceci dit, s'il se trouvait qu'il finisse par tomber amoureux d'un humain, je n'essaierais pas de le retenir, je veux ce qu'il y a de mieux pour lui. Pour l'instant c'était avec moi qu'il voulait être, mais s'il changeait d'avis je le laisserais.

- Je me demande si j'ai l'air d'un petit puceau innocent quoi.

Je haussai les sourcils et le regardai dans les yeux. Un sourire amusé se posa sur mes lèvres.

- T'as vu comment tu parles? ça y est je recommence à avoir une mauvaise influence sur toi.

Je ris doucement et mon regard se posa sur la fenêtre car une ombre venait de passer devant. D'imperceptibles, enfin pas pour moi, bruits de pas s'arrêtèrent une seconde devant la porte d'entrée. Je tendis l'oreille mais ils s'éloignèrent.