Réveil...Pourquoi ? [Tomo-Chan]

- J'ai juste bon coeur.

Oui ça c'était certain, et je le savais plus que bien après tout... c'était en partie pour ça que je l'aimais autant. Il caressa doucement ma joue et j'entendis la porte s'ouvrir, je tournai la tête pour apercevoir la petite blondinette, un plateau dans les bras. Ouch, mauvais moment à passer.

- Je viens vous porter votre repas.
- Ah...

L'infirmière rit doucement et apporta le plateau. Elle devait être habituée à ce genre de réaction je suppose, la nourriture d'hôpital était pas la meilleure du monde.

- Quand pourrais-je sortir d'ici ?
- Le médecin a dit que vous sortiriez assez rapidement.

Ah, c'était une bonne nouvelle tout de même. Mais apparemment Kazuya n'avait pas la tête à l'apprécier, il était trop occupé à contempler le plateau de nourriture. Je me redressai légèrement, pour être assis, et j'attrapai le plateau pour le poser sur mes jambes.

- Tu dois manger mon ange... sinon ils te laisseront pas sortir aussi vite que prévu.

Non, s'il ne mangeait pas, il ne reprendrait pas de force donc ce ne serait pas prudent qu'il sorte.

- Tu dois manger mon ange... sinon ils te laisseront pas sortir aussi vite que prévu.

Je regardait Tomohisa limite choquer. Il voulait vraiment que j'avale ça ? J'étais pas du genre difficile, mais la...comment dire la nourriture d'hôpital était vraiment loin d'être quelque chose que je n'aimais pas.

- J'ai pas très faim, dis-je lentement.

Je tournais la tête vers la fenêtre et regardais l'extérieur. Je faisais peut-être enfant encore plus la. Mais je ne raffolait pas de ce genre de repas qui goute rien ou sinon pas bon.

- Puis je sortirais d'ici quand même. Si au moins il nous donnais quelque chose de bon à mangé.

Je fermais les yeux un moment et posais mon regard sur Tomohisa. Je fis un faible sourire. J'étais certain qu'il me forcerait à manger. Mais bon...j'allais essayer de tenir.

- J'ai pas très faim, dit-il lentement.

Beh tiens, j'aurais du m'en douter qu'il n'accepterait pas gentiment de manger. Il détourna la tête et je réprimai un soupir. Qu'allais-je devoir inventer pour qu'il mange? Parce qu'il devait absolument manger.

- Puis je sortirais d'ici quand même. Si au moins il nous donnait quelque chose de bon à mangé.

Ouais, mais c'était pas le cas malheureusement. Et ils devaient être beaucoup à ne pas aimer mais bon c'était comme et c'était certainement pas ici que ça changerait c'était certain. Il tourna la tête vers moi en faisant un faible sourire.

- Ce n'est qu'une question de jours, fais un petit effort...

Ce n'était quand même pas le bagne et une fois qu'il serait sortit il pourrait manger toute la nourriture qui lui ferait envie.

- Ce n'est qu'une question de jours, fais un petit effort...

Autant me demander la lune ça revient au même. Je ne mangerais pas ça c'était hors de question. Et j'avais vraiment pas faim de toute façon. Allez donc savoir pourquoi. En voyant un plateau comme ça l'appétit disparait.

- J'ai pas faim du tout.

Je me ré-étends dans le lit. Kit a ce qu'il me fasse la gueule. Du moment qu'il me fou pas une boucher dans le fond de la gorge tout ira bien, je pense ben. Je ferme les yeux et soupire doucement.

- Faite moi n'importe quoi, mais ne me faite pas manger ça. C'est a demander ce qu'il mette dans la nourriture.

Je n'exagérais pas la. C'était bien vrai ce que je disais après tout.

- J'ai pas faim du tout.

Il se recoucha dans le lit. Encore une fois je retins un soupir. Il avait vraiment envie de rester là ou quoi? D'accord, il détestait leur nourriture autant que l'hôpital en lui même, mais il pouvait bien en manger un peu, il n'allait pas se laisser mourir de faim juste parce que la nourriture n'est pas à son gout! Il ferma les yeux en soupirant.

- Faites moi n'importe quoi, mais ne me faites pas manger ça. C'est a demander ce qu'il mette dans la nourriture.

Non mais comme si cette nourriture était la chose la plus difficile à surmonter... ça me dépassait un peu je dois dire.

- Je veux bien t'accorder que c'est pas très appétissant, mais ce n'est que de la nourriture. En manger ne te tuera pas.

Il était prêt à risquer la mort pour se transformer en vampire, mais il refusait de manger de la simple nourriture d'hôpital.

- Je veux bien t'accorder que c'est pas très appétissant, mais ce n'est que de la nourriture. En manger ne te tuera pas.

Je tourne la tête vers Tomohisa et le regarde un moment. Bon ok le fait que je veule pas manger lui déplaisait totalement c'était comprenable au fond. Mais quand même. Toute personne censé me comprendrait. Bon ok j'accorde le fait que je suis faible et que si je veux sortir d'ici, il faut que je mange. Je soupire une nouvelle fois et me redresse dans le lit et attrape le plateau sur ses jambes pour le placé sur les miennes.

- Tu me revaudras ça, dis-je.

J'attrape la fourchette et pique dans un légume. Au minimum, je vais commencer par ce qui semble le mieux. Quoi que rien n'a l'air d'être mieux que l'autre.

- Ça va te couter cher, lançais-je.

Il allait sûrement rire, mais je m'en fichais tellement la. Je portais la fourchette a mes lèvres.

Il tourna la tête vers moi et me regarda. Il semblait réfléchir à ce qu'il allait faire. Je n'allais pas lâcher l'affaire de toute façon, il fallait qu'il mange. Un sourire se dessina sur mes lèvres quand il se redressa pour prendre le plateau sur ses jambes.

- Tu me revaudras ça, dit-il.

Mon sourire s'agrandit et il commença à tripoter sa nourriture. J'avais réussi à le faire accepter de manger, c'était tout ce qui m'importait finalement.

- Ça va te couter cher.

Je ris doucement et calai mon dos contre la tête de lit. Il porta sa fourchette à sa bouche. Il allait bien voir que ce n'était pas si terrible que ça.

- Ahah tout ce que tu veux mon ange, répliquai-je.

Il n'était pas rancunier de toute façon et j'arriverais bien à lui faire passer sa mauvaise humeur, je savais comment m'y prendre.

- Ahah tout ce que tu veux mon ange, répliqua-t-il.

Je tournais la tête vers lui en souriant de toute mes dents, je la notais dans ma tête celle la. Je pris une nouvelle boucher.

- Tu me promets tout ce que je veux ?

J'espèrais qu'il ne verrait pas ce que j'ai en tête. Mais avec lui on c'est jamais. Il peut aussi bien réagir trop vite. Finalement c'était vraiment dégueulasse cette nourriture.

- C'est vraiment pas bon.

Je déteste la nourriture d'hôpital autant que je déteste l'en droit en lui même qui m'énerve.

- Tu me promets tout ce que je veux ?

C'était ce que j'avais dit, en effet... mais peut-être aurais-je eu mieux fait de me taire sur ce coup-là... Je cherchai quelques secondes ce qu'il pouvait bien avoir en tête.

- C'est vraiment pas bon.

Je soupirai. Il n'en avait avalé que quelques bouchées, il pouvait bien aller jusqu'à la moitié, au moins. Je décidais de ne rien dire et plutôt de répondre à sa question.

- Eh bien... dans la mesure du possible...

J'arquai un sourcil, attendant de voir ce qu'il allait me dire. Il fallait bien avouer que je n'avais aucune idée de ce qu'il avait en tête.

- Eh bien... dans la mesure du possible...

Je souris doucement et prit une nouvelle bouché. Pour lui faire plaisir, je vais me forcé à tout manger. Donc ça lui coutera encore plus cher. Je termine ma bouché et soupire doucement puis le regarde.

- Avec toi tout est possible.

Je repose mon regard sur l'assiette et reprends une nouvelle boucher. Je suppose que en ce moment même, il ce demande ce que j'ai en tête. Mais je ne suis pas sur qu'il veut le savoir en fait.

- De toute façon j'ai noté dans ma tête que tu ferais n'importe quoi.

J'étais pas débile quand même, ça ne passait pas dans l'oreille d'un sourd ça. Je termine finalement mon assiette après quelque minutes. J'étais moi même étonné malgré le gout dégueulasse que j'avais dans la bouche.

- Tu me donne de l'eau ?

- Avec toi tout est possible.

Ah oui... c'est vrai... donc ça ne m'avait pas avancé à grand-chose de vouloir minimiser sa demande ainsi... J'étais coincé de toute façon... et je m'étais empêtré tout seul en plus de ça.

- De toute façon j'ai noté dans ma tête que tu ferais n'importe quoi.

ça je l'avais bien compris. Mais ça me disait pas de quoi je devais me méfier... et puis bon, j'avais sûrement pas trop à m'en faire, Kazu n'était pas non plus totalement insensé.
Un sourire se dessina sur mes lèvres quand il termina son assiette. Eh bien voilà, il avait quand même réussi à finir... preuve que ce n'était pas insurmontable.

- Tu me donne de l'eau ?

Je tendis le bras vers la table de chevet pour attraper le verre et le remplir d'eau puis je le tendis à mon ange en lui faisant un petit sourire.

- Bah tu vois, ça t'a pas tué.

- Bah tu vois, ça t'a pas tué.

J'aurais envie de lui mettre une baffe en ce moment même. Je n'avouerais pas que c'est bon car c'est pas le cas. Encore une fois, je me dis que même moi qui cuisine plutôt mal c'est meilleur que cette bouffe. Je bois le contenue du verre d'un trait.

- Attends de voir si ça se trouve dans 1 heure, je tombe malade.

Faut laissé le temps au corps quand même. Et le mien allait-il supporté la nourriture d'hôpital ? Je ne crois pas en fait. Mais bon, je soupire doucement.

- Je ne supporterais pas de manger ça pendant 2 jours.

Je dépose le verre à côté de moi et regarde Tomohisa un moment avant de regarder à l'extérieur la ou il pleut encore.

- Attends de voir si ça se trouve dans 1 heure, je tombe malade.

Je soupirai doucement. Non mais la nourriture d'hôpital était pas faite pour tomber malade tout de même, je doutais donc que ça arrive. Et ce n'était pas comme s'il avait à manger ça toute sa vie. Il soupira à son tour.

- Je ne supporterais pas de manger ça pendant 2 jours.

Il me regarda un instant avant de détourner les yeux. Qu'il le supporte ou pas, j'étais certain que c'était plus psychologique qu'autre chose...

- T'as pas tellement le choix en fait...

Je disais ça en toute réalité des choses. Et c'était certainement pas moi qui le laisserais refuser toute nourriture pendant qu'il était à l'hôpital sous un si faible prétexte... ça n'arrangerait rien.

- T'as pas tellement le choix en fait...

Han, mais si que j'ai le choix. Qu'est-ce qu'il croit ? Que je vais gentiment mangé à tout les jours 3 fois par jours ? Hey faut pas rêver non plus. Même chez moi je ne mange pas 3 fois par jours donc c'est pas ici que ça va changer.

- Compte pas sur moi pour manger demain.

Une journée, je mange et l'autre non. Comme ça je vais éviter tout traumatisme relié à cette nourriture. Je m'étends sur le lit et regarde le plafond.

- De toute façon tu peux pas me forcer a manger si j'ai pas faim.

A moins qu'il ce montre persuasif, mais encore la est-ce que ça fonctionnerait ? J'en doutais un peu en fait.

- Compte pas sur moi pour manger demain.

Il pensait donc sérieusement que j'allais rien dire? Qu'est-ce qu'il avait dans le crane pour être si buté? Je trouverais quand même bien quelque chose pour le persuader de manger... Il se recoucha dans le lit.

- De toute façon tu peux pas me forcer a manger si j'ai pas faim.

Je soufflai et détournai la tête. S'il continuait à se montrer déraisonnable, je pourrais bien me résigner à ça, même s'il me bouderait après. Là, je m'inquiétais pour sa santé plus qu'autre chose...

- Alors compte pas sur moi pour rester avec toi si tu refuses de manger.

C'était un coup bas, je sais, mais j'avais pas vraiment le choix. Et j'avais pas envie de passer des heures à argumenter alors que je savais que ça le ferait réagir. Dans le cas contraire, je m'en irais. Pas que ça me plaise de faire ça mais bon.

- Alors compte pas sur moi pour rester avec toi si tu refuses de manger.

Je tournais la tête vers lui choquer par ses paroles. Il ne parlait pas sérieusement la ? Mais a voir son regard, il était sérieux. Han, mais c'est quoi ses menaces. Il a pas le droit de faire ça surtout qu'il sait que je déteste cette endroit par dessus tout.

- Mais t'as pas le droit de m'abandonner ici.

Je ne voulais me retrouver seul ici. Vraiment pas ça serait bien la dernière chose que je souhaitais qui arrive dans ce monde. Je ferme les yeux et soupire. J'étais frustré qu'il me dise ça. Mais j'allais faire genre je suis pas fru.

- C'est bon j'ai compris.

Ah oui c'est sur, j'abandonne, c'est la seule chose que je peux faire de toute façon.

- Mais t'as pas le droit de m'abandonner ici.

Et pourquoi pas? S'il tenait à ce point à être déraisonnable, je ne voyais pas pourquoi je resterais si c'était pour essayer de le faire changer d'avis. Je n'avais pas vraiment envie de me fâcher avec lui. Je l'entendis soupirer.

- C'est bon j'ai compris.

Je le regardai une seconde avant de détourner les yeux à nouveau. Bon, au moins ça avait marché, c'était pas si mal... il devait bien se douter que c'était pas des paroles en l'air. Mais ce n'était pas pour l'embêter que je faisais ça, donc j'avais pas à m'en vouloir... même si ça avait jeté un sacré froid dans la pièce... à croire que les hôpitaux n'étaient bon qu'à semer la discorde entre les couples. Je posai une main sur sa tête et caressai ses cheveux doucement, histoire de calmer le jeu.
N'empêche, il faudrait que je pense à aller aménager mon chez-moi avant qu'il ne sorte... mais c'était sans doute pas le bon moment pour s'en occuper. Mieux valait attendre qu'il dorme pour m'éclipser.

(Oui vaut mieux pas au risque Kazu veule le tué)

Il caressa doucement mes cheveux. Je fermais les yeux. Nah, mais j'en revenais pas qu'il est utilisé la technique de menace ainsi. Je le prenais pas du tout. Je rouvris les yeux et me tournais sur le côté et déposais ma tête sur sa cuisse. Étant donné qu'il est assit. Mais, je ne peux lui faire la gueule, j'en suis incapable surtout pas dans cette endroit. Car, il pourrait partir pour de vrai et me laissé ici tout seul et ça, je ne veux pas, je suis pas d'accord avec ça.

- T'es un vilain.

Il fallait quand même que je dise ça. Mais ça le ferait sûrement rire ou sinon, il allait me dire que non. Je fermais les yeux une nouvelle fois.

Kazu posa sa tête sur ma cuisse, signe qu'il ne m'en voulait pas trop trop finalement. Et ça me rassurait un peu je dois dire. Ma main dériva de ses cheveux sur sa joue.

- T'es un vilain.

Je le savais déjà ça, mais ce n'était pas vraiment nouveau ou étonnant en fait quand on y réfléchissait bien. Et je pouvais pas lui en vouloir de le penser d'ailleurs vu que je le pensais aussi moi-même. Il referma les yeux.

- Je t'aime, soufflai-je.

Je caressai sa joue du bout des doigts. Même si nous nous disputions de temps en temps ça ne changeait rien à ce que je pouvais ressentir pour lui... mes sentiments restaient les mêmes... ça faisait juste augmenter ma peur de le perdre en faisant quelque chose de travers.

- Je t'aime, souffla-t-il.

Je laissais un sourire apparaître sur mes lèvres. Ma main attrapa la sienne qui me caressait la joue et j'entrelaçai nos doigts. Même si on ce dispute souvent je l'aime encore plus.

- Je t'aime aussi, murmurais-je tendrement.

Je déposais un baiser sur sa main. Comment pouvais-je en vouloir à celui que j'aime ? Ça m'était impossible de lui faire la gueule, je l'aimais que trop tout simplement. Peut-être était-ce notre défaut ? Je ne sais pas et je ne veux pas savoir je crois.

Tomohisa, murmurais-je.

J'avais envie de dire son nom tout simplement. J'aime son prénom alors bon c'est pas un crime de vouloir le dire ne ?

Je vis un sourire se dessiner sur ses lèvres et il attrapa ma main pour entrelacer nos doigts.

- Je t'aime aussi, murmura-t-il tendrement.

Il embrassa ma main et je souris à mon tour. Nous n'étions véritablement pas de ceux qui pouvaient se bouder pendant des heures. Je crois que ça me serait impossible personnellement.

- Tomohisa, murmura-t-il.

Je savais qu'il aimait tout simplement dire mon prénom, je l'avais compris et j'aimais l'entendre le murmurer ainsi, c'était si adorable. Nos mains étant toujours près de ses lèvres, je laissai mon pouce les caresser doucement puis je tournai légèrement son visage et me penchai sur lui pour l'embrasser.

Je répondis a son baiser automatiquement. Juste au contact de ses lèvres mon coeur s'emballaient frénétiquement dans ma poitrine. Je laissais ma langue allé caresser ses lèvres et la sienne ce joint à la mienne et elles ce mirent à danser ensemble ce cherchant et ce retrouvant. Je mit fin au baiser à bout de souffle. Ma main libre caressa doucement sa joue.

- Je t'aime Tomo-Chan.

Je souris doucement et plongeait mon regard dans le sien.

Il répondit à mon baiser et nos langues ne tardèrent pas à se rejoindre pour se lover l'une contre l'autre. Ce contact était si doux, j'adorais ça. Il mit fin au baiser après quelques instants, à bout de souffle et sa main caressa ma joue.

- Je t'aime Tomo-Chan.

Il sourit et planta ses pupilles dans les miennes. Je lui rendis son sourire, son regard était si tendre.

- Je t'aime Kazu.

N'était-ce pas la plus belle chose au monde et en même temps la plus terrible qui pouvait m'arriver? L'aimer autant... on pouvait si aisément se détruire à cause de ça, c'était effrayant.

- Je t'aime Kazu.

Un sourire ce dessine sur mes lèvres. A toute les fois qu'il me disait ça, j'avais l'impression que ma vie devenait plus belle. Même si notre amour était un danger pour moi et pour lui, je l'aimais tout simplement de plus en plus et ça, je n'y pouvait rien. J'étais lié à lui par un fil invisible.

- Tu sais quoi, je crois que se séparer nous serait totalement impossible.

Liée comme nous le sommes, il me retrouverait peut importe l'endroit ou j'irais il y serait ou vice versa. Quelque chose nous attirerait l'un vers l'autre comme des aimants.

- Alors je te promets de ne pas te lâcher de rester près de toi.

Je caresse doucement sa main que je tiens toujours dan la mienne.

- Tu sais quoi, je crois que se séparer nous serait totalement impossible.

Un sourire se dessina sur mes lèvres à ces mots. J'étais heureux de l'entendre dire ça... ainsi nous voyions les choses de la même manière.

- Alors je te promets de ne pas te lâcher, de rester près de toi.

Sa main caressa doucement la mienne, ses paroles étaient plus belles que tout. Pouvais-je rêver mieux que d'avoir sa parole qu'il ne me quitterait jamais? Non, c'était impossible.

- Je te le promets aussi.

Je déposai un baiser sur son front puis sur le bout de son nez. Je ne pouvais pas imaginer ma "vie" sans lui, je savais que c'était une promesse que je ne pourrais jamais rompre.

- Tu m'es trop précieux.

Un sourire tendre se faufila sur mes lèvres. Il n'y avait rien de plus précieux sur cette terre que lui et l'amour qu'il me portait... que nous nous portions mutuellement.