Malade [Tomo-Chan]

- Avec toi à mes côtés rien ne m'arrivera. Je sais que je suis en sécurité.

Si au moins je le rassurais, c'était déjà ça. Je savais que ça ne suffirait pas, que quand le vampire se pointera je devrais me battre comme jamais, mais j'étais prêt à tout pour protéger mon ange. Il était tout ce que j'avais.

- Je t'aime tellement.
- Je t'aime aussi mon ange.

Ses lèvres se posèrent à nouveau dans mon cou. Je le serrai contre moi en posant mon regard devant moi... donc sur la télé... olala le film on en aurait raté de sacrés morceaux - -' m'enfin bon c'pas si grave...

- Je t'aime aussi mon ange.

Je laisse un sourire ce dessiné sur mes lèvres. J'aimais tellement entendre ses paroles à mes oreille elle était tellement douce. Elles étaient tout simplement magnifique. Jamais je ne me lasserais de l'entendre me dire cela. Je caressais doucement son torse enfin un moment car, je cessais assez vite. Je toussotais vaguement et soupirait doucement.

- Vive la grippe et le rhume.

Je rie doucement tout en me blottissant le plus possible contre lui. Malgré qu'il ne soit pas une source de chaleur des plus grandes, il était parfait pour moi. Sa fraîcheur me faisait tout simplement du bien.

Il toussa puis soupira.

- Vive la grippe et le rhume.

Je ris avec lui et il se blottit contre moi. Je caressai doucement son bras et déposai un baiser sur ses cheveux.

- Heureusement que je ne peux pas tomber malade, hein! ^^

Sinon il ne pourrait pas se lover contre moi comme il le faisait. Je m'occupais souvent de lui au lycée quand il était malade, mais jamais je ne le laissais se coller à moi, j'avais trop peur de tomber malade moi aussi... parce que si je tombais malade il n'y avait plus personne pour s'occuper de lui. Je n'étais peut-être pas amoureux de lui à l'époque, mais je tenais à lui tout de même.

- Heureusement que je ne peux pas tomber malade, hein! ^^

Je hoche doucement la tête. Oui heureusement sinon, je serais pas dans ses bras et je serais dans mon coin dans des couvertures. Je me rappelle qu'il me tenait beaucoup compagnie, mais ça allait pas plus loin. Il y avait aucun échange de bisous ou de câlin. Donc ça m'arrange un peu qu'il puisse pas tomber malade.

- J'aimerais bien moi aussi ne pas tomber malade.

Mais je peux toujours rêver, je suis tellement mal chanceux dans la vie que tomber malade m'arrivera toujours, mais au moins c'est pas souvent. Heureusement sinon, je pleurerais. J'aime pas être malade comme tout le monde d'ailleurs qui aime être malade de toute façon ?

- Moi je veux que tu reste avec moi je suis sur que tu aidera à ma guérison.

Je rie doucement et me décale pour déposer un baiser sur ses lèvres. Je redépose ensuite ma tête sur son épaule.

- J'aimerais bien moi aussi ne pas tomber malade.

Je ris doucement. En effet, tous les humains aimeraient ne pas tomber malade, quoiqu'il y en a que ça arrange. Si les maladies n'existaient pas, ça ferait une excuse pour rater les cours en moins pour les collégiens et lycéens.

- Moi je veux que tu reste avec moi je suis sur que tu aidera à ma guérison.

Il déposa un baiser sur mes lèvres puis reposa sa tête sur mon épaule. Je secouai la tête en souriant, je n'étais pas sûr de ça moi...

- Oui, tu as un peu de fièvre alors mon contact te fait du bien mais quand tu auras froid tu ne diras plus la même chose.

Et si c'était pas le cas, c'était moi qui le repousserais. Quand sa fièvre baisserait je ne ferais que lui faire risquer d'être encore plus malade.

- Oui, tu as un peu de fièvre alors mon contact te fait du bien mais quand tu auras froid tu ne diras plus la même chose.

Je soupirais doucement il avait raison quand même. Son corps me faisait du bien alors que j'étais fiévreux, mais si ça se trouve lorsque la fièvre tombera mon état rempirera et je devrais allé à l'hôpital et ça j'ai vraiment pas envie. Je déteste les hôpitaux. J'ai toujours détesté ça.

- Mais je n'aurais pas froid voyons. Je suis pas frileux moi.

Mauvais menteur que je suis. J'ai souvent eu froid à l'époque du lycée alors qu'il faisait chaud. Mais faut dire que Tomohisa était une vrai fournaise aussi à l'époque alors tout était bon pour profité de sa chaleur.

- Reste avec moi c'est tout ce que je veux.

Je faisais mon petit enfant gâté, mais je m'en fichais tellement quoi.

- Mais je n'aurais pas froid voyons. Je suis pas frileux moi.

Je me retins de rire. Lui? Pas frileux? Ce qu'il fallait pas entendre x)

- Reste avec moi c'est tout ce que je veux.

Je souris et le berçai doucement dans mes bras. Comme si j'allais partir, c'était vraiment pas mon intention.

- Mais bien sûr que je reste avec toi... temps que tu ne te mets pas à grelotter.

Je déposai un baiser sur son front. Je crois que maintenant le film tournait réellement dans le vide, mais bon...

- Mais bien sûr que je reste avec toi... temps que tu ne te mets pas à grelotter.

Je fis un grand sourire et passais mes bras autour de son cou a fin de me serrer encore un peu plus contre lui. La fraîcheur de son corps me faisait tellement de bien en ce moment même.

- Je ne grelotterait pas c'est promis.

J'étais bien capable de retenir mes grelottement si je venais a avoir froid, mais bon, il m'en voudrait si, je faisais ça et je veux pas me prendre la tête avec lui. Pas en ce moment en tout cas.

- Merci de rester avec moi mon coeur.

Je dépose un baiser sur sa joue et appuie mon front sur sa joue. Je sens le froid et ça fait du bien.

- Je ne grelotterais pas c'est promis.

Je secouai la tête. J'espérais qu'il n'essaierait pas de retenir ses frissons, de toute façon je le sentirais bien lorsqu'il aurait froid.

- Merci de rester avec moi mon coeur.

Il déposa un baiser sur ma joue puis y appuya sa joue.

- Ne me remercie pas, je t'aime alors j'ai envie de rester avec toi... même si là je me fais l'effet d'être un sac de glace... ajoutai-je évasivement.

Je pouffai de rire, nan mais sincèrement c'était un peu ça... mais bon quand on peu rendre service...

- Ne me remercie pas, je t'aime alors j'ai envie de rester avec toi... même si là je me fais l'effet d'être un sac de glace... ajouta-t-il évasivement.

Il pouffa de rire et j'en fit autant. En fait c'était tout comme pour moi. Mais j'étais bien la et j'aimais bien le froid qu'il dégageait. Mais ça allait être moche quand j'aurais froid, il pourrait pas vraiment me réchauffé. Je devrais m'arranger autrement. Mais je suppose que je trouverais une solution à cela comme toujours.

- Bah au moins je te fais des câlins sinon, je doute que je serais collé sur toi car, j'aurais encore plus chaud.

Et disons que déjà avoir chaud c'est pas très cool et d'avoir encore plus chaud ça l'est encore moins. Je pleurerais sûrement je crois. Mais du moment que ma fièvre ne tombait pas trop vite, je resterais dans ses bras.

- Je t'aime aussi. Et heureusement que t'es la pour veillez sur moi. Car j'ai pu de maman pour ça, dis-je lentement.

Ah nah la boulette. Il allait sûrement me demandé ce que je racontais la. Mais tant pis. Je répondrais c'est tout, je peux pas resté muet indéfiniment sur mon passé après tout.

- Bah au moins je te fais des câlins sinon, je doute que je serais collé sur toi car, j'aurais encore plus chaud.

Oui en effet c'était pas faux. Mais de toute façon ça servait pas à grand chose de penser de cette façon vu que j'étais ainsi glacé donc...

- Je t'aime aussi. Et heureusement que t'es la pour veiller sur moi. Car j'ai pu de maman pour ça, dit-il lentement.

Mon coeur se serra et je le serra un peu plus contre moi. Mais je ne savais pas qu'il n'avait plus sa mère... il ne savait pas non plus que je n'avais plus la mienne... que je ne l'avais presque pas connu d'ailleurs.

- Alors on est deux dans ce cas mon ange... qu'est-ce qui lui est arrivé à ta mère?

Je supposais qu'il me le dirait s'il ne voulait pas répondre, alors je n'insisterais pas.

- Alors on est deux dans ce cas mon ange... qu'est-ce qui lui est arrivé à ta mère?

Je me reculais et le regardais droit dans les yeux. Et bah, il avait plus de maman lui non plus et bien, j'étais même pas au courant de ça moi. Faut dire que c'est pas un sujet qu'on touche à tout les jours en fait. Bon autant répondre que d'ignorer ce sujet comme toujours.

- Bah en fait ma mère avait une maladie incurable...Elle ne devait pas trop forcé, et quand, je tombais malade qui s'occupait de moi ? Elle...

Je baisse la tête sentant les larmes me monté aux yeux. Je parlais très rarement de ma mère de toute façon.

- Elle ne devait pas ce surmené, mais elle le faisait pareille. Lorsque j'ai fais ma tentative de suicide ce fut trop dur pour elle. Son état a rempiré, elle a été hospitalisé. Mon père m'a accusé d'être la cause de son état.

Je soupirais doucement et nichais ma tête dans son cou. Une larme roula sur ma joue.

- J'ai tomber tellement souvent malade étant jeune. J'ai donc essayer de prendre soins d'elle autant qu'elle en avait fait avec moi, mais elle est morte a la fin de l'année. La journée des diplômes elle est morte. C'est pour ça j'avais quitté la cérémonie en premier.

J'essuyais mes larmes ce jour ou je devais être heureux ne l'avait finalement pas été.

Je me souvenais de ce jour en effet, ça avait été la dernière fois où je l'avais vu en fait car je déménageai le lendemain, et j'avais été triste de le voir partir si tôt, maintenant je comprenais... ça et d'autres choses d'ailleurs. Je caressai doucement les cheveux de mon ange. ça ne devait pas être facile de parler de ça, et j'avais mal de le voir pleurer. Je déposai un baiser sur sa tempe.

- Je suis désolé mon ange.

C'était bien la seule chose qu'il y avait à dire dans un moment pareil, mais ce n'était pas des mots qui le réconforteraient... pas pour ces chagrins-là...

- Je suis désolé mon ange.

Oh il n'avait pas à être désolé ce n'était pas sa faute, il ne le savait pas c'est tout. Je soupirais doucement et redressais la tête j'essuyais mes larmes du revers de ma main et le regardais droit dans les yeux.

- Je suis moi même désolé pour ce qui lui est arrivé.

Devais-je continué à dire ce qui c'était passé après cela ? Il m'avait bien demander ce qui ce passait avec mon père cette après-midi autant que je le dise tout de suite ce sera fait.

- Quand, je suis arrivé à l'hôpital, il l'avait déjà transporté à la morgue. Mais mon père est ensuite arrivé et il c'est jeté sur moi. Il a essayer de me tué. Il disait que c'était ma faute que j'étais le coupable de sa mort. Alors que lui, il n'est jamais venue la voir une seule fois à l'hôpital alors qu'elle disait toujours son nom. Mes frères ne m'ont pas accusé eux par contre.

Ils avaient comprit que je n'étais pas responsable de cela. Comment aurais-je pu savoir en fait ? J'ai appris la maladie de ma mère quand, elle a été hospitalisé, ils m'avaient caché la vérité pour que je me concentre sur mes études. Une larme roula sur ma joue, je les laissaient maintenant sortir valait mieux d'ailleurs.

Son père le tenait pour responsable de la mort de sa mère? C'est stupide, je comprends la rancoeur de Kazu envers lui maintenant... Je passai mes mains sur les joues de mon ange pour essuyer ses larmes. J'avais mal pour lui, ça avait du être difficile pour lui depuis tout ce temps. Comment un père pouvait accuser son enfant d'une telle chose? C'était injuste...
Je passai mes bras autour de son cou et le serrai à nouveau contre moi.

- Je t'aime, je serais toujours près de toi, susurrai-je à son oreille.

Je ne l'abandonnerais jamais, quoiqu'il arrive, pas après ce qu'il venait de me dire, je ne pouvais pas le laisser seul.

- Je t'aime, je serais toujours près de toi, susurra-t-il à mon oreille.

Je me blottissait tout contre lui et déposais ma tête sur son épaule. Il était bien la seule personne qui me restait dans ma vie. Même si mes frère ne m'en voulait pas pour ce qui c'était passé j'avais coupé le contact avec eux. Je les appelaient très rarement, mais ça arrivait. Au fond mon père à réussi a me convaincre que j'étais le responsable.

- Je t'aime aussi. T'entendre me dire que tu seras toujours la à mes côtés me rassure tellement tu ne peut pas savoir jusqu'à quel point, murmurais-je.

Je serais pas seul dans ma solitude et même que je suis sur que j'arriverais à pouvoir m'en sortir et oublié ce qui c'est passé réellement. Ça serait bien en fait. Car c'est vraiment pas facile.

- Tu es la seule personne sur qui je peux compter.

Je dépose un baiser sur sa peau froide. Mes larmes coulaient encore, mais beaucoup moins à présent. Heureusement.

- Je t'aime aussi. T'entendre me dire que tu seras toujours là à mes côtés me rassure tellement tu ne peux pas savoir jusqu'à quel point, murmura-t-il.

Je souris et caressai doucement son dos. Je ne voulais plus le voir souffrir, il ne méritait pas de souffrir ainsi.

- Tu es la seule personne sur qui je peux compter.

Je sentais ses larmes rouler dans mon cou, je le berçai tendrement pour essayer de le calmer. Nous étions seulement tous les deux maintenant, mais cela suffisait à ce qu'on arrive à être heureux, on n'avait besoin de personne d'autre, juste lui et moi... Je fermai les yeux et le serrai un peu plus dans mes bras.

Je me laissais bercer par lui et fermais les yeux. J'étais si bien la en ce moment. Je savais qu'avec lui je pourrais tout oublié les douleurs et les souffrances qui étaient dans mon esprit. Je pourrais vivre que l'avant et non de l'arrière. Les sanglots cessèrent petit à petit, mais je sombrais dans un sommeil. Mes forces restantes était parti dans mes larmes. Et mon mal de tête revenait un peu. Pleurez alors qu'on est malade n'est pas la meilleur chose qu'on puisse faire quand on regarde ça. Je passais une nouvelle fois mes bras autour de son cou pour m'accrocher a lui et rester tout contre lui.
Mon sommeil serait sûrement meilleur maintenant que j'avais tout avoué à lui. Je m'étais vidé de ses douleurs.

Je rouvris les yeux en sentant son corps peser un peu plus sur moi et je me rendis compte qu'il s'était endormi. Il passa ses bras autour de mon cou alors que j'allais l'allonger sur le canapé. Bon, je vais servir de coussin maintenant ^^ je m'installai un peu mieux dans le canapé et appuyai ma tête contre celle de mon ange alors que mes bras enserraient à nouveau sa taille. Ses sanglots avaient cessé et sa respiration était apaisée. J'étais tranquillisé maintenant... il souffrirait peut-être moins maintenant qu'il avait allégé son coeur.
Je portai mon regard sur la fenêtre et regardai dehors, guettant chaque mouvement suspect alors que les battements de mon coeur s'accordaient à ceux de Kazu.

Je le sentis bougé sous moi, mais je me réveillais pas. Je sentais les battement de son coeur tout près du mien. Ses mains c'était enrouler autour de ma taille une nouvelle fois, je ne pu que apprécier ce moment tout simplement magnifique. Mais j'avais une impression qu'il était inquiet. Ou plutôt que quelque chose de grave nous arriverait. J'avais peut-être tord, mais cela me tracassait même dans mon sommeil. Alors faut dire que cet autre vampire me dérangeait. Et si, il s'en prenait à Tomohisa qu'est-ce que je pourrais faire ? Ça j'en avait pas la moindre idée encore. Mais je devais trouver un moyen de pouvoir assuré sa protection à lui comme, il le fait avec moi. J'étais faible à côté de lui, mais je voulais pouvoir aidé.

- Tomo-Chan, murmurais-je doucement.

Malgré le sommeil, je trouvais le tour de pensé et de réfléchir. Ma tête allait sûrement éclater à ce rythme.

- Tomo-Chan, murmura-t-il.

Un sourire tendre se dessina sur mes lèvres.

- Ne t'en fais pas je suis là...

Même si mon esprit était un peu ailleurs en ce moment. Il fallait que je sache si cette sangsue allait agir cette nuit ou pas. Mais agirait-il alors que j'étais sur mes gardes? Seulement... il était certainement plus vieux que moi alors il y avait des chances pour qu'il me donne du fil à retordre.

- To~mo~-chan!

Je tressaillis en percevant cette voix dans ma tête. Une voix lugubre et narquoise... alors c'était ça son pouvoir... pourquoi est-ce qu'il ne l'avait pas utilisé plus tôt? Et... est-ce qu'il percevait mes pensées?... non sûrement pas... mais alors quoi d'autre?

- Ne t'en fais pas je suis là...

Je ne pu que soupiré d'aise en entendant ses mots. Ses mots qui voulait tant dire pour moi, mais qui parait si insignifiant pour d'autre. Alors durant mon débat mental, je sentit le corps qui était sous moi tressaillir. Ne pas le sentir m'aurait été impossible. J'ouvrais donc lentement les yeux et redressais la tête pour regardé Tomohisa.

- Est-ce que ça va, demandais-je la moitié endormi.

Mes yeux la moitié ouvert ça devait être chic a voir comment j'étais en ce moment même. Mais bon c'est pas comme si j'étais pas habitué a ne pas être en grande classe devant le monde.

Kazuya releva légèrement la tête.

- Est-ce que ça va? demanda-t-il à moitié endormi.

Merde, je l'avais réveillé. Je souris faiblement et déposai un baiser sur son front.

- Oui oui ça va, rendors-toi ^^

Il ne fallait pas qu'il s'inquiète alors que je n'étais encore sûr de rien. Je ne savais pas s'il me croirait, mais j'espérai au moins qu'il me ferait assez confiance pour ne pas poser de questions... des questions qui resteraient sans réponse.

- Ce n'est pas beau de mentir...

Il m'entendait? Je ne parvenais pas à sentir son état d'esprit, c'était frustrant... il était sans doute trop loin, mais alors comment pouvait-il m'atteindre?

- Oui oui ça va, rendors-toi ^^

Je hausse un sourcil et abandonne. Je repose ma tête sur son épaule et referme les yeux et comme je m'y attendais je replonge assez vite dans mon sommeil qui était dans un débat des plus gros que j'ai jamais fait avant. Un tribunal est moins chiant que mes pensée. Je bougeais légèrement, mais pour me replacer comme j'étais a la base.

- Je t'aime Tomohisa.

Je souris et laissais mes pensé m'absorber dans mon sommeil cherchant des réponses a tout ce gros débats mental qui allait me donné mal à la tête.

Il haussa un sourcil mais ne demanda rien. Il se contenta de reposer sa tête sur mon épaule pour se rendormir.

- Je t'aime Tomohisa.

Je caressai sa joue en souriant.

- Je t'aime aussi Kazuya.

Je soupirai doucement et renversai ma tête sur le dossier du canapé en réfléchissant. S'il pouvait me parler, mais qu'il n'entendait pas mes pensées... ce n'était peut-être pas sa voix que j'entendais, c'était peut-être qu'une illusion, il me faisait croire qu'il était là... ah je ne savais même plus quoi penser. Qu'est-ce que j'aimerais pouvoir dormir moi aussi, dormir et arrêter de réfléchir.
Brusquement mon coeur se serra et ses battements accélérèrent, je me mordis la lèvre à cause de la douleur. Qu'est-ce qu'il m'arrivait tout d'un coup!?